VOL DE LA MUNICIPALITÉ DE CASERTA. Le gérant Franco Biondi dévoilé par la Revue. Mais la demande de mise en examen est quasiment certaine pour lui, Mars, Noël, Rivetti et consorts…

VOL DE LA MUNICIPALITÉ DE CASERTA. Le gérant Franco Biondi dévoilé par la Revue. Mais la demande de mise en examen est quasiment certaine pour lui, Mars, Noël, Rivetti et consorts…
VOL DE LA MUNICIPALITÉ DE CASERTA. Le gérant Franco Biondi dévoilé par la Revue. Mais la demande de mise en examen est quasiment certaine pour lui, Mars, Noël, Rivetti et consorts…

La décision des juges des Libertés concerne en effet exclusivement la mesure conservatoire et il n’est en aucun cas certain qu’elle affectera nécessairement également l’issue d’un éventuel procès futur.

CASERTE – Comme nous le répétons souvent, la phase de précaution est une chose, la phase d’essai en est une autre.

Compte tenu de la manière dont a été élaborée l’ordonnance qui a conduit à l’arrestation et à l’assignation à résidence du conseiller municipal Massimiliano Marzo, des gérants Franco Biondi et Giovanni Natale, de l’employé Giuseppe Porfidia et de l’entrepreneur Gioacchino Rivetti, et qui a conduit à l’inscription des suspects, parmi lesquels d’autres, l’adjoint au maire de Caserta Emiliano Casale et l’entrepreneur Raffaele Nunziante, le parquet de Santa Maria se prononcera même si la Revue libère mars et Noël.

On ne sait pas si les juges des libertés ont motivé leur décision relative à Franco Biondi en la liant à l’absence de motifs conservatoires, étant donné que le gérant n’a jamais notifié sa démission de la fonction explicite qu’il pouvait, à partir d’aujourd’hui, continuer à exercer. dehors .

Il en va de même pour Massimiliano Marzo.

Par conséquent, de manière quelque peu déductive, nous pouvons dire que les juges de révision estiment qu’il n’y a pas d’indices sérieux de culpabilité, contrairement à ce que croyaient le parquet et le juge d’instruction Vecchiarelli du tribunal de Saint-Marin.

Le résultat du réexamen, qui a eu lieu alors que l’enquête est encore ouverte, avec la possibilité pour les procureurs d’acquérir des éléments de preuve supplémentaires, par rapport à ce qui constituait la base de la disposition, ne modifiera pas la condamnation du parquet. qui, croyons-nous, dont dans quelques mois clôturera les enquêtes et demandera l’inculpation de tous les suspects qui, à ce moment-là, comme accusés, devront comparaître devant un juge pour l’audience préliminaire qui, à son tour, décidera s’il existe ou non une possibilité raisonnable de condamnation (possibilité et non certitude), car cela constitue le motif discriminant d’une mise en accusation, selon les nouvelles règles de la loi Cartabia.

La situation est en revanche différente pour Emiliano Casale, qui n’a fait l’objet d’aucune mesure de précaution. Dans cette affaire, le parquet a encore une idée ouverte qui pourrait aussi bien conduire à une demande de mise en examen, qu’à un non-lieu.

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