le Sud relancé par Lecce

L’Italie est divisée en deux, du moins en ce qui concerne la qualité de l’offre d’emploi. Les données issues du deuxième rapport le disent…

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L’Italie est divisée en deux, du moins en ce qui concerne la qualité de l’offre d’emploi. C’est ce qu’indiquent les données issues du deuxième rapport sur 40 meilleures villes de travail en Italieédité par Fondation Aidp – Travail et durabilité Effortprésenté aujourd’hui à La municipalité de Naples.

À l’exclusion Lecce (à la 31ème place), les résultats de l’enquête dressent le portrait d’une réalité qui n’est pas positive pour l’ensemble Midisans la capitale du Salento dans le classement des capitales, le Sud serait en effet totalement exclu du classement qui voit sur le podium deux villes de Lombardie et une de Vénétie : Milan, Bergame et Padoue.

«Les différences existent déjà – dit le maire de Naples, Gaetano Manfredi – la question à discuter est de savoir comment garantir que ces différences soient réduites et non augmentées et comment le pays peut tirer le meilleur parti du potentiel du Sud : la zone qui a aujourd’hui le plus grand potentiel de croissance compte tenu de la situation géopolitique que nous vivons » .

«Nous – ajoute Manfredi – avons besoin d’un pays uni qui exploite tout son potentiel pour créer des richesses qui puissent être distribuées de manière appropriée. Nous devons envisager un pays unitaire, trop de fragmentation n’aide pas. »

Malgré l’exclusion du top 40, selon les promoteurs du rapport des « meilleures villes de travail d’Italie », Naples (définie comme une « ville en mouvement ») enregistre encore une petite amélioration, notamment dans des secteurs moteurs comme la culture. , le tourisme et la recherche universitaire.

«Il est clair que le revenu par habitant a un impact énorme sur la situation économique – poursuit le maire napolitain – cela a un impact énorme sur les villes du Sud et sur toute la zone métropolitaine de Naples ; mais il existe d’autres indicateurs où Naples enregistre une augmentation : signe qu’il y a une direction positive. Il est clair que le chemin est encore long : parmi les 40 plus grandes villes d’Italie, 38 se trouvent au Nord, mais des signaux positifs arrivent toujours du Sud, comme l’innovation et la numérisation.jeDans ces domaines, nous voyons le Sud grandir : c’est le fait le plus important. Il faudra de nombreuses années pour combler les écarts, mais il est essentiel que cet écart ne se creuse pas mais tende à diminuer. »

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