Bénévent, « persécutions et blessures aggravées » : il ne peut plus l’approcher

À la lumière des enquêtes coordonnées par le Parquet de Bénévent, dirigé par Aldo Policastro, les agents de la Brigade Volante de la Préfecture de Police ont déclenché l’interdiction de…

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À la lumière des enquêtes coordonnées par Recherche de Bénévent, gouvernée par Aldo Policastroles agents de la Brigade Volante de la Préfecture de Police ont déclenché le aucune approche à la personne offensée et à son domicile, avec l’obligation de maintenir une distance d’au moins 500 mètres avec elle, avec l’application du bracelet électroniquecontre un homme, sérieusement soupçonné de actes de persécution et blessures aggravées au détriment d’une femme, à laquelle il était lié par une relation affective. L’enquête a débuté après que la femme s’est rendue aux urgences en raison de blessures subies à la suite d’une « énième attaque ». Elle aurait elle-même révélé le « comportement répété de harcèlement, de menace et de persécution sévère du suspect, consistant à la frapper à plusieurs reprises à coups de poing, de pied et à lui tirer les cheveux, allant jusqu’à lui cogner la tête contre le radiateur à une occasion et la menacer; avoir tenté de la frapper avec un marteau à une autre occasion ; l’attrapant par les cheveux, la traînant au sol et la frappant avec des gifles au visage et derrière le cou et avec des coups de pied dans la jambe droite, au point de lui causer également un état d’anxiété et de peur persistant et grave comme une crainte fondée pour sa propre sécurité”. Selon les enquêteurs, la femme n’a pas porté plainte malgré le comportement très grave qu’elle a subi par crainte de représailles de la part de l’homme, mais elle s’est rendue à plusieurs reprises aux urgences en raison du comportement qu’elle a subi. Il aurait également manifesté un profond sentiment de prostration et de peur, “même si en même temps il manifestait de la pitié pour l’auteur de ce comportement”. Les déclarations de la femme ont également été corroborées par celles de la mère, qui a confirmé qu’elle était consciente du comportement violent et menaçant du suspect à l’égard de sa fille et de son état de prostration.

Les rapports médicaux des passages aux urgences sont également déterminants. Dans tous les cas, il s’agit d’une mesure conservatoire ordonnée lors des enquêtes préliminaires, contre laquelle les recours sont toujours autorisés et dont les destinataires sont les personnes soumises à l’enquête et donc présumées innocentes jusqu’au jugement définitif.

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