Le procès pour blanchiment d’argent présumé dans le monde nocturne de Salerne a commencé. Hier, devant la première section pénale (collège présidé par le juge Diograzia) du Tribunal…
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Début du procès pour blanchiment d’argent présuméle monde de Salerne la nuit. Hier, devant la première section criminelle (collège présidé par le juge Diograzia) du Tribunal de Salerne, L’audience contre les 24 prévenus a commencé, parmi lesquels des entrepreneurs du secteur de la restauration et des lieux publics de la vie nocturne, des frontmen et des professionnels, avec quelques questions préliminaires telles que le retard de l’enregistrement et l’inutilisabilité des documents d’enquête après 2021 (formulés par leavocat Michele Tedesco, au nom d’Enzo Boves’opposant à l’inutilisabilité des interceptions téléphoniques) tandis que leavocat Giovanni Falci (pour la défense de Vincenzo Casciello) il a contesté la nullité du décret qui ordonne le procès en raison de la nullité de l’accusation, de son flou et de son indétermination. Le tribunal a réservé sa position sur les questions soulevées par les deux défenseurs, reportant la poursuite du procès après les vacances d’été. Selon les accusations, le groupe d’entrepreneurs composé d’Enzo Bove, Mimmo Zeno, Massimo Sileo et Carmine Del Regno, avec l’aide professionnelle des comptables Antonio Libretti et Donato Pasqualucci, ils auraient fictivement enregistré les sociétés qui contrôlaient les bars, les restaurants et les supermarchés auprès de prête-noms pour échapper aux contrôles de capitaux. De plus, selon les accusations, il y avait des flux d’argent entre les sociétés qui géraient les locaux qui servaient à cacher les bénéfices.
Le parquet a contesté des accusations allant de l’association de malfaiteurs au transfert frauduleux d’objets de valeur, en passant par le blanchiment d’argent et l’auto-blanchiment, l’évasion fiscale frauduleuse, la fraude contre l’État, la violation des obligations de communication établies par le code anti-mafia.
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