Le logement social, outre les abus de pouvoir et la corruption, l’hypothèse du mensonge idéologique se pose également
TREVISO – Les accusations liées à ce qui avait été défini comme le scandale du logement social ne sont plus seulement celles de corruption et d’abus de pouvoir,…
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TREVISO – Les accusations possibles pour ce qui avait été défini comme le scandale des logements sociaux ne sont plus seulement celles de corruption et d’abus de pouvoir, ce dernier délit pourrait être dépénalisé. Certains suspects seront également accusés de idéologique faux pour avoir signalé dans des documents publics de fausses exigences utiles à l’inscription au classement pour l’obtention d’une maison municipale. C’est la nouvelle qui ressort de la longue enquête menée par le parquet du tribunal de Trévise et qui est en voie d’achèvement. En plus des ayants droit des logements, ils se sont également retrouvés dans le registre des suspects Stefano Pivatoà l’époque directeur du ministère de l’Intérieur, l’adjoint Stefano Masiero, Roberto Bonaventureresponsable du secteur Urbanisme, e Sébastien Ladillo, qui occupait le poste de responsable organisationnel au sein des services de construction résidentielle. Au-delà Enrico Renosto, ancien conseiller municipal du PDL. Tout le monde s’est toujours déclaré innocent.