Aiello et le nouveau single Talete : “Je chante l’amour éphémère, mais celui-là pour l’Inter est éternel”

Une bande-son de l’été, quand on a envie de se rencontrer et de tomber amoureux. Une saison qui peut être le théâtre d’histoires d’amour qui durent justement cette période, puis s’effacent aux portes de l’automne. Il s’agit de « Talete », le nouveau single d’Antonio Aiello. Le chanteur calabrais revient un an après son dernier album.

“Les paroles sont autobiographiques, elles parlent de mes trois dernières années : le cliché selon lequel en été je vis des histoires qui ont une expiration immédiate. Avec cette chanson, je voudrais dissiper ce tabou. L’amour de l’été, même s’il semble être un tel tabou. évident et banal, c’est une réalité. Le philosophe Thalès raisonnait sur des lignes parallèles : J’aimais l’idée de penser l’amour comme la seule force capable de rapprocher deux choses qui autrement ne se rencontreraient jamais.”

Dans le clip vidéo, vous devenez également danseur. De quelle expérience s’agissait-il ?

” Courageux sans l’ombre d’un doute : je ne suis pas du genre à pouvoir me targuer d’être aussi décomplexé en public. Cette pièce m’a semblé parfaite car elle ouvre un nouveau cycle pour moi, j’avais envie de m’amuser avec légèreté. Je’ Je suis heureux et fier du résultat”.

Vous êtes un grand fan de l’Inter.

“C’est une foi qui se transmet dans ma famille depuis des générations”

Étiez-vous heureux de la deuxième étoile ?

“En tout cas, c’était magnifique. Ce n’était pas une surprise, mais une émotion construite au fil de l’année. Aucune souffrance sur le chemin.”

Qui étaient pour vous vos deux hommes du Scudetto ?

“Certainement Lautaro, c’est une certitude. Arnautovic était aussi très fort. J’ai choisi l’attaque parce que c’est aussi une de mes philosophies de vie : j’aime être proactif, tout comme un attaquant.”

Laquelle de vos chansons dédieriez-vous à Simone Inzaghi ?

“Je vous dirais ‘Paradis’ car chaque fois qu’il mène l’Inter au succès, j’ai l’impression d’être au paradis. Inzaghi est un grand leader et également le capitaine d’une équipe qui ressemble à une famille à tous égards.”

Dans « Thalès » un verset mentionne : « une belle histoire à oublier ». Y a-t-il une bonne histoire à oublier à l’Inter ?

“En réalité aucun. Le contexte de certains passages n’est pas vraiment connu. Comme Lukaku : je me sentais mal, c’était une douche froide, mais seuls les protagonistes connaissent la vérité de certaines histoires.”

Vous avez fait Sanremo avec Ibrahimovic. Auriez-vous préféré qu’il y ait un noir et bleu pour vous présenter ?

“Ibra était sympa, mais oui j’aurais préféré un noir et un bleu. Je dirais Zanetti ou Ronaldo. Ce sont les deux noms qui me viennent à l’esprit quand je pense à l’Inter.”

Et si Cosenza, l’équipe de votre ville natale, allait en Serie A : qui soutiendriez-vous ?

“J’aimerais sincèrement pouvoir traverser cette crise. J’ai une passion profonde et authentique pour l’Inter, mais le rouge et le bleu représentent la couleur de ma ville. Dans un affrontement direct, je soutiendrais Cosenza.”

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