“J’ai choisi la curiosité plutôt que le succès, seul Vasco m’a vraiment compris”

Irène Grandi – Spetteguless.it

Trente ans après sa sortie, l’album remasterisé de l’artiste Irene Grandi revient. Il s’éteint aussi fier de moipremier single d’un nouvel album en construction.

Irène Grandi – Spetteguless.it

En 1994 Irène Grandi elle a fait irruption sur la scène musicale italienne avec la force d’un cyclone, une jeune rebelle en bottes de combat qui a grimpé dans les charts et est devenue la voix d’une nouvelle génération.

Trente ans plus tard, son premier album éponyme Irène Grandi, revient dans une version remasterisée pour célébrer l’anniversaire.

En attendant, Irène publier également fier de moile premier single d’un nouvel album en cours et s’apprête également à entamer une nouvelle tournée dans les théâtres italiens à partir de novembre.

Irène Grandi se souvient de ses débuts avec affection et même un peu de nostalgie, l’artiste elle-même déclare que :

« Les chansons rappellent des morceaux de vie, une année, un lieu, mais cela me rend heureux, pas triste. Je regarde toujours devant moi, je n’y pense pas, tout au plus je fais une pause puis je me laisse aller. Dans cette édition j’ai ajouté un duo avec Levante”.

Déjà à 25 ans Irène Grandi travaillé avec des gens comme Eros Ramazzotti Et Jovanotti et en effet à cet égard il admet que :

« Jovanotti a été mon premier admirateur. Dans le vestiaire des jeunes de Sanremo, des fleurs sont arrivées de la part d’amis, de compagnons et de parents dont ils n’avaient jamais entendu parler. Il y avait aussi le deck de Lorenzo et une note : “Tu es très bon, je te soutiens”. Je me suis évanoui. Il venait d’écrire du rap Serenata et je pense positivement. Il faisait quelque chose de nouveau, j’adorais son rap d’auteur-compositeur-interprète. Il a écrit TVBe, ce fut un grand succès.”

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Irène Grandi il a commencé à chanter à l’église, même si sa famille n’était pas vraiment religieuse. Elle se levait tôt tous les dimanches matin parce qu’elle aimait le son de sa voix à l’intérieur de l’église.

Irène Grandi – Spetteguless.it

Il s’est produit devant un public et il n’y a eu aucun applaudissement. Elle aimait ça silence réfléchi qui restait en l’air. C’est ce qu’explique l’artiste. Ce silence réfléchi l’a ensuite également conduite à méditation et à yoga, deux disciplines qui l’ont particulièrement aidée à gérer le stress de la vie publique.

Quant au nouveau single, fier de moi, parle de sa détermination et de son indépendance. L’artiste explique :

« Dans ce monde, personne ne vous donne rien. Je me suis toujours consacré au travail, à l’écriture, aux tournées… un demi-tour. Pour tirer longtemps, il faut y aller sans saccades. Avancez toujours mais avec une certaine légèreté. Les 4 premiers albums sont sortis en 4 ans, puis petit à petit j’ai compris que je voulais rester en dehors du mainstream, j’adorais les salles, j’avais envie d’expérimenter. Je n’ai pas forcément choisi la voie du succès, mais bien celle de satisfaire mes curiosités. Alors aujourd’hui je produis mes disques, même avec des sacrifices financiers. Pas de méga productions et promotions. Je suis un petit entrepreneur. C’est le prix de la liberté.”

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