Andrea Delogu avec Ema Stokholma, tournant radical : « Ça fait un mal de diable »

Andrea Delogu avec Ema Stokholma, tournant radical : « Ça fait un mal de diable »
Andrea Delogu avec Ema Stokholma, tournant radical : « Ça fait un mal de diable »

Ces derniers jours, l’attention des réseaux sociaux a été captée par les histoires d’Ema Stokholma, un visage bien connu de la radio, alors qu’elle subit un traitement pour enlever ses tatouages. Ce geste a suscité curiosité et interrogations, amenant l’artiste à expliquer publiquement les raisons de cette décision, anticipée depuis quelques temps. Déjà lors de sa participation à Danser avec les étoilesEma avait avoué se sentir surchargée par les nombreux tatouages qui ornait son corps. Cependant, il a désormais clairement indiqué qu’il se lançait dans un voyage visant à éliminer ces dessins indélébiles, même si le processus s’avère plus long et plus complexe qu’on ne l’avait initialement imaginé.

Percée d’Ema Stokholma : “Au revoir les tatouages”

“Je ne les aime plus, le mien est un problème esthétique, j’ai simplement changé de goût”, a-t-il expliqué. Le chemin vers le détatouage Cela se présente comme un défi non seulement physique mais aussi émotionnel. pour Ema Stokholma. Bien que motivée avant tout par des raisons esthétiques, elle admet que le processus implique une série de séances qui peuvent laisser des cicatrices permanentes sur la peau. Malgré cela, la détermination à poursuivre ce changement est forte, soulignant un net changement dans les goûts et les préférences par rapport au passé. En tant qu’amatrice de tatouages, Ema est désormais déterminée à effacer ces marques qui, au fil du temps, ils ont perdu leur charme et un sens pour elle.

Même si dans les vidéos il semble que l’encre disparaisse là où pointe le laser, en réalité il s’agit d’une plaie qui deviendra une croûte qui, après quelques heures ou quelques averses, disparaîtra.” a expliqué.

La présence de mon amie Andrea Delogu

Mais le parcours d’Ema vers le détatouage n’est pas solitaire. Elle a reçu le soutien et la compagnie de son amie Andrea Delogu, cil a partagé son expérience en enlevant un tatouage sur son bras via une vidéo sur les réseaux sociaux. Delogu, à son tour, a subi une ablation et a décrit le processus comme extrêmement douloureux, soulignant les défis physiques et mentaux qui accompagnent ce choix. Les deux femmes soulignent la longueur et le coût du processus, ainsi que la complexité de la procédure, ce qui demande beaucoup de patience et de soin.

La décision d’Ema Stokholma de retirer ses tatouages ​​est le reflet d’un changement personnel et de nouvelles orientations esthétiques. Avec le soutien d’amis comme Andrea Delogu et une ferme détermination, Ema s’engage à se lancer dans ce long voyage vers une nouvelle version d’elle-même

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