Michela Morellato, l’influenceuse vénitienne condamnée à payer 5 mille euros. Il a traité une infirmière de la Coupe de « demi-chaussette ».

VENISE – Depuis près de vingt ans, elle revendique le fait d’être “un talent pour les ennuis”, fière de ne pas se taire face à ce qu’elle considère comme des abus, des allégations…

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VENISE – Depuis près de vingt ans, elle affirme être “un talent pour les ennuis”, fière de ne pas se taire face à ce qu’elle considère comme des abus, du prétendu harcèlement à l’espionnage présumé. Mais cette fois, l’influenceuse vénitienne Michela Morellato devra payer pour ses propos : 3 000 euros de dommages et 2 000 euros de frais de justice à une infirmière de l’hôpital San Bortolo, définie publiquement (d’abord à la Coupe puis sur Facebook) comme une ” demi-chaussette», «incompétent» et «pomme pourrie parmi les fonctions publiques». Avec le jugement publié ces derniers jours par la Cour Suprême, la sentence d’indemnisation de la partie civile prononcée par le Tribunal de Vicence devient définitive, tandis que l’intervention du délai de prescription établi par la Cour d’Appel de Venise à l’égard de l’accusation de la diffamation aggravée est confirmée.

LA CRITIQUE

Près d’une décennie s’est écoulée depuis le 2 juillet 2015, lorsque Morellato s’est disputé avec l’employé de la centrale de réservation unique de l’hôpital Berico. En retirant les résultats d’un examen, la showgirl s’est vu demander une contravention de 480 euros, au lieu de 411 comme on lui avait dit à la clinique : ainsi les insultes avaient volé, enregistrées sur une vidéo qui avait été postée à plusieurs reprises sur la toile. Après avoir déjà obtenu l’extinction du crime, la défense a également tenté d’obtenir l’annulation des condamnations civiles. Trois points soutenus par l’avocat Cesare Dal Maso pour la femme de 36 ans, qui se définit aujourd’hui comme « écrivain, entrepreneur et commentatrice politique ». La première: «Les expressions utilisées, loin de vouloir offenser les qualités morales, intellectuelles ou psychiques de la victime, représentaient en réalité une critique des méthodes d’approche professionnelle utilisées par celle-ci dans ses relations avec les utilisateurs». Deuxièmement, le droit de critique a été rappelé : « L’accusée s’était limitée à critiquer l’attitude professionnelle de la victime suite à un comportement qui, par essence, lui avait semblé inutilement bureaucratique et peu coopératif ». Finalement, l’excuse de provocation a été invoquée, selon laquelle la demande d’une contravention plus élevée que prévu “l’avait mise dans un état de forte agitation”.

L’ATTAQUE

Pour la Cour de cassation, l’appréciation des juges du mérite était cependant correcte, lorsqu’ils ont cadré la vidéo « dans le cadre factuel de la diffamation », la considérant comme une « attaque personnelle au niveau individuel » qui « a franchi la limite de la continence ». dans « l’exercice du droit de critique ». En outre, selon la Cour suprême, «l’accusation de ne pas vouloir travailler et l’invitation à abandonner le travail à des personnes plus compétentes et surtout plus gentilles, adressées à ces mêmes personnes, représentent des expressions tout à fait exorbitantes par rapport au but affirmé de simple désapprobation.» de la méthode de travail adoptée par la partie lésée”. À cet égard, les “hermines” soulignent “le mot “demi-chaussette” fait référence à une personne de capacité médiocre ou de peu d’importance, et le terme “pomme pourrie” désigne des personnes qui utilisent constamment la négativité et l’abus et cela avec leur comportement ils infectent toute la structure dans laquelle ils opèrent, provoquant du stress, de la souffrance et une mauvaise productivité”. En tout cas, Morellato, «pas satisfait de l’éclat personnel» de la Coupe, et «ayant épuisé la pulsion émotionnelle déterminant l’agression verbale», a quand même voulu poster la vidéo, laissant place «au différent sentiment de représailles vindicatives», pour lequel elle devra désormais indemniser l’infirmière.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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