“Éloignez-vous des événements réels.” La vengeance de William sur Harry et Meghan



Si pour Charles III l’espoir de faire la paix avec est toujours vivant Harry et Meghanon ne peut pas en dire autant du prince William. Alors que Sa Majesté, selon des sources, préférerait conserver une attitude plus malléable à l’égard de son deuxième fils et de sa belle-fille, l’héritier du trône aurait choisi la voie la plus intransigeante. Le même que celui utilisé par le prince Philip pour punir quiconque mettrait en difficulté la survie de la Couronne. Une stratégie qui ne permet pas de reculer : éloigner définitivement les ducs de Sussex des engagements officiels et de la vie de cour.

“Le bâton de fer”

L’idée d’une réconciliation ne viendrait même pas à l’esprit du prince William. Harry et Meghan. Au lieu de cela, il verrait les ducs comme les ennemis de la monarchie, les éléments (devenant) étrangers à l’institution. Il en aurait marre des livres, des documentaires, des scandales, des révélations qui jettent de l’ombre sur sa famille. Il ne pouvait plus tolérer ce qui serait pour lui une véritable trahison de la part de son frère. Le seul objectif de William serait de protéger ses proches et de préserver l’intégrité de ce trône sur lequel il aura un jour le privilège de siéger.

Pour ce faire, il serait également prêt à exclure définitivement Harry et Meghan du palais et de tout type de fonction officielle, même si cela impliquait l’annulation du duc de sa vie. Un comportement très sévère que le futur King aurait hérité de son grand-père, comme l’explique un initié au Daily Beast : « Filippo dirigeait la famille avec une barre de fer et vous avez vu qu’à sa mort, cette discipline a disparu. Désormais, c’est William qui prend les décisions concernant la discipline familiale.”

Il Prince de Galles il deviendra la nouvelle colonne vertébrale de la famille, rôle peut-être progressivement assumé après la mort du prince consort, avec une influence et une rigueur qui grandissent au rythme des invectives d’Harry et de Meghan. En d’autres termes, plus les ducs s’en prenaient à la famille royale, plus William devenait résolu et implacable dans la poursuite de son objectif de défendre la couronne.

Charles III, aurait cependant montré une affection moins catégorique envers Harry et ses petits-enfants Archie et Lilibet Diana. Sa Majesté aimerait en effet revoir les enfants à Londres, et non plus uniquement par appel vidéo. Ce serait la seule raison pour laquelle il voudrait éviter de couper complètement les liens avec les Sussex.

Guillaume, le nouveau « patriarche » ?

Rares sont ceux qui auraient imaginé que le prince William pourrait prendre la place de son grand-père Philip, de “patriarche”, comme l’a écrit l’Express. Les deux hommes sont toujours apparus comme deux personnalités assez différentes. L’l’héritier du trônecependant, allait changer avec le temps et avec les déceptions que lui réservait son frère.

En tant que prochain dirigeant du Royaume-Uni, Guillaume n’a même pas besoin du consentement de Charles III pour exercer son pouvoir à la cour. Pas entièrement, du moins. Bien entendu, les rôles de monarque et Prince de Galles doivent rester très distincts et équilibrés, mais William sait certainement agir tout en restant dans sa sphère d’influence.

Pour le Prince Philippe les choses se sont passées différemment, comme l’a déclaré la biographe royale Sally Bedell Smith, citée par l’Express : «[La regina Elisabetta] elle comptait de plus en plus sur son mari pour prendre des décisions familiales importantes et sur des nounous pour gérer la vie quotidienne. C’est Elizabeth II qui confia à son mari la tâche de superviser et d’administrer la Maison. Philip a assumé ce fardeau et l’a porté jusqu’au bout, avec le grand sens de la discipline qu’il avait acquis au cours des années passées dans la Royal Navy. De plus, il y avait une prédisposition de caractère en ce sens.

A ce propos on pourrait rappeler que le prince Philip, après le divorce d’Andrea et Sarah Ferguson en 1992, aurait interdit à cette dernière de passer Noël avec famille royale. Les princesses Eugénie et Béatrice étaient bien sûr les bienvenues au Palace pour les Fêtes, mais pas Fergie.

Sarah est revenue faire la fête avec les Windsor plus de trente ans plus tard, en 2023, lorsque Charles III a décidé de mettre un terme au passé et d’inviter son ex-belle-sœur à Sandringham. Si William était tout aussi intransigeant envers Harry et Meghan, cela pourrait prendre des décennies avant de revoir les frères ensemble. Ou cela pourrait ne plus jamais se reproduire.

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