Maurizio Compagnoni explique la célébration de Vincenzo Italiano avec Vanessa Leonardi : “Ce n’était pas un baiser”

Le mari de la journaliste, collègue et commentatrice, a démenti sur les réseaux sociaux toute reconstitution imaginative du baiser donné par l’entraîneur de la Fiorentina à son épouse, assise à l’écart. La Fiorentina est également intervenue sur la question : “Il n’avait que la tête sous le capot et c’était juste une conversation chargée.”

Le prétendu baiser ou bec de Vincenzo Italien à Vanessa Léonardi par Sky Sports. L’image a été diffusée jeudi soir, à l’occasion du 2-0 du Florentin contre la Viktoria Plzen qualification pour les demi-finales de Ligue de conférencea suscité une curiosité morbide et une foule de commentaires d’accompagnement.

Il y en avait ou pas ? Non, il n’y a pas eu d’échange d’épanchements. Ce qui s’est réellement passé était différent de ce qui a été vu ou de ce que beaucoup pensaient avoir vu et seulement imaginé. Le malentendu a été créé par le même commentateur de Sky qui a couvert le but en direct : trompé par la séquence vidéo, il a utilisé le terme “baiser” pour décrire la situation captée par les caméras qui a alimenté le tapage.

Tous deux sont mariés : Vincenzo Italiano est marié à Raffaella, avec qui il a eu deux enfants en 2002 et 2007, tandis que la journaliste de Sky est mariée à sa collègue, journaliste et commentatrice sportive, Maurizio Compagnoni.

L’Italien court vers le journaliste de Sky après le but de la Fiorentina : “Il lui a donné un baiser”

C’est ce dernier qui est intervenu directement en niant sur les réseaux sociaux la question publiée sur le tableau d’affichage relative à cette attitude confidentielle : pourquoi Italiano a-t-il embrassé Vanessa hier soir ? “Mais il ne l’a pas embrassée. »a écrit Compagnoni qui a ajouté plus tard : “Mais pensez-vous qu’Italiano le fasse devant mille caméras et avec sa femme dans les tribunes ? Quelqu’un, le pauvre, n’y arrive pas”.

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Tout s’est passé lorsque Italiano s’est approché du correspondant de Sky qui était à l’écart et semblait s’abandonner à une démonstration spontanée d’affection provoquée par le bonheur du moment : il s’est penché vers elle et lui a murmuré quelque chose à l’oreille. Il l’a fait deux fois et, grâce à la rapidité avec laquelle l’objectif a coupé sur les deux, le visage du technicien couvert par le rabat de la cagoule portée par le journaliste, a laissé beaucoup croire à tort qu’il lui avait donné un baiser ou un bisou.

Ce cadre a suffi pour que l’exploit de Viola, en demi-finale de Conférence pour la deuxième année consécutive (lors de l’édition précédente, ils avaient atteint la finale contre West Ham), passe au second plan. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, la Fiorentina l’a également confirmé dans une note publiée par l’agence LaPresse : “Pas de bisou, la journaliste avait juste la tête sous le capot et c’était juste une conversation chargée.”

Une fois l’affaire clarifiée, le baiser sur le banc de touche est quelque chose qui s’est réellement produit dans le passé : Alberto Malesani l’a alors donné à Vanessa Leonardi (2009) alors qu’il dirigeait Sienne. À une autre occasion (également en 2009), Cesare Prandelli a fait de même avec Alessia Tarquinio (à l’époque journaliste de Sky) à l’occasion du but de Gilardino contre Liverpool en Ligue des Champions.

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