Inter, la célébration du championnat et les chants contre Milan de Calhanoglu, Lautaro et Bastoni

Hier, l’ambiance du derby régnait dans tout Milan, peut-être encore plus que celle du lundi 22 qui a donné à l’Inter la certitude arithmétique du Scudetto. Les chants contre la Juventus n’ont évidemment pas manqué (avec la participation de Juan Cuadrado au celui qui ne saute pas est noir et blanc), mais l’impression générale est que l’axe de la ville a été le plus battu, avec une véhémence particulière. Et pas seulement de la part des 300 mille supporters, mais aussi de certains joueurs qui, pris dans le frisson des célébrations, se sont même livrés à quelques chants destinés à leurs rivaux.

Chers cousins

Laissons pour l’instant de côté le cas Denzel Dumfries, qui doit être traité de manière spécifique et isolé d’autres épisodes qui ont suscité moins de protestations, en tout cas au milieu de diverses manifestations de respect (comme Nicolò Barella, soucieux d’arrêter la lutte anti -Chants de Milan). Par exemple, Hakan Calhanoglu, l’un des plus attendus au début des célébrations, a également fait exception à la règle. Dans l’après-match, le milieu de terrain a rapidement esquivé les questions sur le passé, mais à la fin de la soirée – les freins inhibiteurs étant désormais desserrés – il s’est laissé aller en entamant un celui qui ne saute pas est un rouge et noir depuis la Terrasse 21, pour le plus grand plaisir des fans ci-dessous qui ne pouvaient pas attendre autre chose. Une autre vidéo montre à la place Lautaro Martinez et Alessandro Bastoni déterminés à participer à un refrain moins flatteur pour les Rossoneri directement depuis le bus à toit ouvert : ” Celui qui ne saute pas avec nous, qu’est-ce qu’il/est un morceau de supporter de l’AC Milan. ..”. Un autre film avec Kristjan Asllani et Davide Frattesi sur le bus à toit ouvert est presque le même. Et on ne peut évidemment se référer qu’à ce qui a été capté par les vidéos des fans, dans le scénario d’une très longue journée. Revenant sur la nuit du 22 au 23, enfin, le même capitaine s’est déchaîné avec le même refrain depuis la terrasse de l’Aperol, toujours pour la joie des supporters présents.

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les racines

Il est clair que la rivalité entre les villes est toujours profondément ressentie à Milan, mais – comme nous l’avons dit au début – certains ingrédients ont rendu cette fête particulièrement électrique. Il y a d’abord ce scudetto numéro 20 célébré face à ses cousins ​​: en 2021, c’est l’Inter qui atteint en premier la 19e place, mais l’année suivante Milan avait égalisé le score en lançant un face-à-face pour la deuxième étoile. De plus, ce même drapeau tricolore était arrivé en un “arraché” pour les Nerazzurri de Simone Inzaghi, qui se sont effondrés entre la fin de l’hiver et le printemps avec les épisodes emblématiques du but d’Olivier Giroud dans le derby et de la défaite dans le temps additionnel contre Bologne avec une erreur de Ionut. Radou. Bref, des choses qui font mal et qu’on a hâte de venger : d’où l’ambiance enveloppante de vengeance. Et puis précisément dans ce cas, les coups de couteau à l’Inter n’ont pas manqué pendant les célébrations, des coups pas toujours élégants et avec des cibles particulièrement gonflées comme Calhanoglu lui-même. Il y a eu pour lui un cocktail explosif entre les adieux, la fête les mains sur les oreilles lors du premier derby, le dissident avec Ibrahimovic et les insultes constamment reçues des supporters de l’AC Milan. Et quand le micro lui est parvenu…

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