C’est une conférence de presse éclair et surprise. Parce qu’il y a seulement deux jours, Matteo Berrettini a déclaré qu’il pourrait jouer les Internationaux au Foro Italico,…
Déjà abonné ? Connectez-vous ici!
OFFRE SPÉCIALE
MEILLEURE OFFRE
ANNUEL
79,99 €
19 €
Pendant 1 an
CHOISISSEZ MAINTENANT
MENSUEL
6,99 €
1 € PAR MOIS
Pour 6 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
OFFRE SPÉCIALE
OFFRE SPÉCIALE
MENSUEL
6,99 €
1 € PAR MOIS
Pour 6 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an
Abonnez-vous avec Google
C’est une conférence de presse éclair et surprise. Parce qu’il y a à peine deux jours Matteo Berrettini il a dit qu’il pouvait jouer le International au Foro Italico, le tournoi qui l’a fait tomber amoureux du tennis. «Mais ensuite – dit-il, visiblement sombre – j’ai mis mon cœur de côté pour faire ce qui est juste pour moi. J’ai essayé de tout faire comme je l’ai dit, mais je ne suis pas prêt à concourir et je ne pourrai pas jouer : je risquerais de me blesser et c’est la dernière chose que je veux. J’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette situation, c’est un peu étrange. Je voulais le communiquer ici et non via les réseaux sociaux puisque nous sommes chez nous. J’espère que 2025 sera une bonne année pour Rome.”
Berrettini, but parisien
«C’est difficile de dire quand je serai prêt, j’espère avant Paris – explique-t-il Berrettini -. J’ai besoin de m’entraîner, de revenir avec du rythme et avec les bons gestes à prendre quand on s’arrête un moment. Je ne suis pas loin de revenir, mais je ne suis pas prêt pour demain. J’ai pris quelque chose qui m’a beaucoup affaibli, entre les médicaments et ce que je devais faire pour me soigner. S’il ne m’est pas possible de rester 3 heures sur le terrain, puis de me reposer une journée et de jouer encore 3 heures, c’est vrai que je ne le fais pas. Le message positif, c’est que rien n’est cassé, il n’y a qu’une grande tristesse car c’est le tournoi qui m’a fait choisir de faire ce métier.” Bref, pas de derby au premier tour avec Napolitain: à sa place l’heureux perdant américain Jeffrey John Wolf.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
Lire l’article complet sur
Le Messager