L’incipit de l’interview de Sport Week (Gazzetta dello Sport) avec Albert Gudmundsson: «Par une chaude après-midi de printemps, nous avons eu la confirmation qu’Albert Gudmundsson, le talentueux attaquant de Gênes, sera au centre du prochain marché des transferts». Au cours de l’interview, on a demandé à l’attaquant islandais quelles étaient les chances qu’il puisse rester à Gênes ? «Je ne peux pas le dire maintenant. Ce n’est un secret pour personne – a-t-il répondu – que Gênes a besoin de trouver des fonds et que je voudrais faire un pas, un pas en avant. Nous comprendrons tous les deux ce qui est le mieux, mais à ce moment les deux portes sont ouvertes : celles qui mènent à mon départ ou, au contraire, à mon séjour. »
Gud était fasciné et attiré par Gênes et la Ligurie (et plus généralement aussi par l’Italie), pour la nourriture et les lieux magiques, comme la Boccadasse. Quand il partira, il ratera tout cela en disant deux fois : « Bien sûr ». Il y a cependant un élément qui pourrait ralentir son départ : « A Gênes, je joue comme je l’aime : libre ».