F1 – F1, GP du Canada : Ferrari et la machine à voyager dans le temps

F1 – F1, GP du Canada : Ferrari et la machine à voyager dans le temps
F1 – F1, GP du Canada : Ferrari et la machine à voyager dans le temps

Qui a dit que les machines à voyager dans le temps n’existaient pas ? Cela existe, en effet, cela existe. Suivez simplement le F1. Prendre la Grand Prix du Canadaannée du Seigneur deux mille Et vingt-quatre. Pour ceux qui, comme moi, ont passé le cap du demi-siècle, à un moment donné du match, un doute atroce est apparu : « Sommes-nous dans le 2024 ou dans 1992?” Et le doute demeure encore aujourd’hui. La quantité industrielle d’erreurs, les problèmes techniques, la navigation constante à l’arrière, pratiquement humiliée par toutes les autres équipes, ont en effet rappelé ces souvenirs inoubliables, cette horreur sans fin qui semblait s’emparer de l’équipe Ferrari il y a plus de trente ans…

J’ai encore, où je garde divers souvenirs, un petit livre cartonné de Jean Alési qui, allongé à plat et vêtu de la salopette rouge standard, faisait la publicité d’une marque de lunettes bien connue. Évidemment j’avais aussi acheté ces lunettes rondes et très chères, très ringardes et écaille de tortue, qui semblaient (heureusement) irrémédiablement démodées et qui, au contraire, semblent faire leur grand retour. D’un autre côté, nous vivons à une époque où il n’y a presque rien de nouveau. Tout le passé est recyclé. Mais absolument tout. C’est l’ère de rumination. Souvent avec des goûts et des résultats douteux.

Cependant, comme je me soucie de ma santé et de mon système cardiovasculaire, ainsi que de mon système nerveux, j’espère vraiment que le spectacle horrifiant qui s’est déroulé à Canadadeux protagonistes motobineuses nommé SF-24avec le triste et évident épilogue du double retrait, n’est qu’un épisode complètement isolé.

Déjà. C’est le but. Est-ce que ce sera vraiment comme ça ? Après la gueule de bois Monte Carlo, j’avais lu des choses merveilleusement absurdes. Maintenant, nous sommes de retour sur terre. Oubliez les hurleurs professionnels qui troquent le violet contre du fuchsia (unique au monde, à tel point qu’ils finissent légitimement dans le Guinness de la Primates, dans quelle catégorie vous voyez-vous), le problème est grave. Mais comme cela arrive toujours avec Ferrari, est à la fois sérieux, drôle et tragique. Parce que si nous devons reconnaître une chose Rouge c’est qu’il fait les choses avec style. Pour le meilleur ou pour le pire. Et voici donc, condensées dans leur ensemble, une série d’erreurs et de désastres qui semblent aliénants mais absurdes.

Leclerc qui part avec 80 chevaux moins (la fiabilité, cette inconnue…), comme au bon vieux temps de SF1000 avec le pétomoteuraprès s’être fait prendre les mains dans le pot à biscuits par la FIA (motorone SF90). Les deux pilotes se noient à l’arrière, comme des figurants dans un film d’horreur de série B qui fait rire de l’horreur… souvent en ligne droite ou à travers champs. Et puis, encore une fois, pourquoi pas… chausser les pneus durs (!) juste avant qu’il ne se remette à pleuvoir. Ici, de ce point de vue, il faut rappeler comment Maranello a pour le moins un rapport problématique avec la météo, c’est le moins qu’on puisse dire.

On dirait presque que c’est ça Ignazio Strateghino Ruotino est toujours là… Et puis, encore une fois, revenons au montage des intermédiaires et, enfin, au triste retrait de Leclerc, doublé. Alors que Sainzce qui était plus lent que Charles (sans avoir aucun problème) mais à la fin, après avoir presque grappillé quelques points, il a décidé que c’était trop même pour lui. Et puis l’Ibérique faisait une belle rotation, assommait quelqu’un et reculait malheureusement aussi. Mais d’un autre côté, il était déjà clair dès les qualifications qu’un désastre historique était dans l’air.

Cependant, un sournois Vasseur il nous a dit que non, dimanche ce serait une toute autre histoire. Il a oublié de préciser que oui, ce serait une musique complètement différente, mais dans un sens péjoratif. Après RequiemLe De profond. Et ainsi, même si l’un des nombreux imbéciles mondiaux qui parsèment l’histoire du Ferrari dans F1 du 2008 en bas, les autres se battaient. Plus que tout, ils se sont entretués pour gagner Verstappen. Qui, faut-il le dire, a visiblement profité de l’insouciance des autres avec force et intelligence. Ainsi va le monde. Vous êtes fort par votre propre mérite mais aussi par le démérite des autres.

En attendant, pendant que Ferrari a été le premier à quitter le circuit (un record qui pourrait plaire au président), Fred il a relancé une phrase glaçante aux journalistes. Certains d’entre nous, comme le Calboni Fantozziano, après la nomination du nouveau méga-directeur, est tombé à terre épuisé. Les mots infâmes étaient les suivants : « Il faut comprendre ». Et le naufrage ne m’est pas doux, dans cette mer… Anathème. Crédits. Musique de fond: « Il n’y a plus rien à faire, c’était bien de rêver… »

F1, GP du Canada : Ferrari vide dans l’âme

Pérez. Vote : le renouvellement du contrat a été célébré.

Le plus heureux? Ce gentil gars M. Marc

Perez fait un demi-circuit avec un aileron arrière en lambeaux. Note : honte, honte, honte.

Taureau Rouge il a admis avoir demandé Sérgio notre devoir de ne pas garer la voiture en bord de piste, après qu’elle s’est écrasée toute seule, pour éviter un accident Sécurité Carboniser ce qui aurait pu être nocif Max.. Maintenant, en faisant cela, ils mettent leur pilote et d’autres personnes en danger, tandis que le Rouge Taureau il perdait des morceaux de carbone partout. Et savez-vous comment ils se sont comportés ? 25 mille euros d’amende et trois positions sur la grille Pérez à Barcelone. Risible, non ? Ils auraient pu influencer le résultat final. Avec une “saleté”.

Mais ils s’en sortent. Evidemment les journaux anglais en parlent comme si de rien n’était. En effet, ils sifflent et regardent autour d’eux… C’est toujours la même vieille histoire. Pensez à ça Ferrari aurait-elle été traitée avec la même indulgence ? J’ai plus d’un doute.

Leclerc. Note : vide.

Il n’y a rien à dire.

Sainz. note : vide moins.

comme ci-dessus

McLaren. Note : 8. Ils ont perdu la course avec un appel tardif Norris.

Mercedes. Note : 8 moins. Espérons qu’une seule hirondelle ne fasse pas l’été ! Maintenant que j’avais pris l’habitude de les voir au milieu de la table…

Russell. Note : 5. Trop d’erreurs. Lui aussi pourrait aspirer à la première place.

SF-24. Cote : motobineuse avec pet-moteur (du moins celui de Lecerc).

Sergent. Note : en dessous de zéro

Vasseur parlant. Votez : le silence vaut mieux (au moins ce tour).

Il est temps de reprendre ton souffle, et ça arrive Barcelone (ce qui ne pardonne pas). Ici, nous pourrons avoir une idée claire de ce que cela vaut Ferrari. En attendant, j’espère que Newey Et Maranello trouver le temps de se mettre d’accord et de célébrer le mariage du siècle.


Auteur: Mariano Froldi@MarianoFroldi

Images: Scuderia Ferrari – F1 TV

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