Canada catastrophe, colère Leclerc : “Un retrait ? C’est une bonne idée” – Actualités

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Voyage amer

Toute la joie éprouvée à Monaco, dans les rues de sa maison, pour avoir brisé une malédiction qui semblait le hanter, s’est transformée en regret pour Charles Leclerc à Montréal, à la fin d’un week-end canadien véritablement cauchemardesque. Éliminé en Q2 en qualifications, le pilote Ferrari en course a été contraint d’abandonner après un problème moteur ce qui l’a obligé à affronter la première moitié de la course avec 80 chevaux de moins que la concurrence.

Le jeu ne rapporte pas

Ces difficultés, combinées à la pluie et à une frustration compréhensible, ont fait perdre patience au n°16 de Maranello, et par radio il est devenu le protagoniste de quelques allers-retours assez pressants avec son ingénieur de courseBryan Bozzi.

Au 30e tour Leclerc, après avoir tenté le risque d’utiliser des pneus slicks durs, se rend compte qu’il n’est pas possible de garder son SF-24 sur la route dans ces conditions, avec une piste de plus en plus humide. Cependant, Bozzi a semblé dans un premier temps s’opposer à la demande de retour aux pneus intermédiaires.

Leclerc: « Ne devrions-nous pas reprendre les stands ? Il pleut trop.”
Bozzi: “Cela ne durera qu’un ou deux tours.”
Leclerc: « P**** p******, il pleut trop ! Je perds environ 10 secondes par tour !
Bozzi: « Reçu, on s’arrêtera pour les intermédiaires ».

Agonie interrompue

Peu après, conscients que la course est désormais bel et bien terminée, depuis le mur nous décidons de mettre fin à l’agonie de Leclerc arrêter définitivement la voiture. La communication de Bozzi – “Charles, récupérons la voiture” – est accueilli comme une libération du numéro 16 rouge, qui « se défoule » : “Oui, oui, c’est une bonne idée”. L’inévitable finale d’une épreuve de trois jours qui a mal commencé et s’est terminée pire que Leclerc, Bozzi et tout le clan Ferrari espèrent oublier au plus vite en Espagne.

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