penalty et carton rouge manqué, ce que dit le règlement

Depuis six ans, pour presque tout le monde, malgré la grande estime dont il a toujours joui et dont il jouit encore, il est “l’arbitre avec une poubelle au lieu d’un cœur”, comme l’appelait Gigi Buffon en 2018 pour le penalty accordé à la 90e minute. contre le Real Madrid en Ligue des Champions, ce qui a coûté l’élimination à la Juventus. L’UEFA a désigné l’Anglais Michael Oliver, 38 ans, international depuis douze ans, qui a déjà arbitré des Coupes du monde et des Championnats d’Europe, pour le match entre les Espagnols et les Croates. Sa dernière direction fut la demi-finale aller de Conference League entre la Fiorentina et Bruges mais comment s’est comporté le sifflet anglais hier ?

L’histoire d’Oliver avec l’Espagne et la Croatie

Oliver avait déjà arbitré trois fois Croatie et deux Espagne dans sa carrière.

L’arbitre n’a averti qu’un seul joueur

Assisté des assistants Burt et Cook avec l’homme de Taylor IV et Attwell dans le Varl’arbitre n’a réservé qu’un seul joueur espagnol, Rodri.

Espagne-Croatie, les dossiers au ralenti

Ce sont les épisodes douteux. Pendant plus d’une heure et 10 minutes, il ne se passe pas grand-chose. Puis à la 77e minute, Pedri a fait tomber Petkovic dans la surface. Ballon de but sensationnel pour la Croatie, avec Petkovic à un mètre du but vide et prêt à pousser le ballon dans les filets. L’intervention de Rodri a été spectaculaire puisqu’il a tendu la jambe par derrière – sans pouvoir toucher le ballon d’aucune façon – et a fait tomber l’attaquant croate. Oliver n’accorde le penalty qu’après l’intervention du VAR, mais n’obtient qu’un carton jaune. Rodri n’essaie pas de frapper le ballon, mais gêne plutôt l’attaquant. Manifestations pour le carton rouge manqué pour le milieu de terrain espagnolqui aurait ainsi raté le match contre l’Italie jeudi prochain.

Le penalty est juste et le choix de ne pas l’expulser est également correct. Dans la surface de réparation, pour montrer le carton rouge suite à une occasion de but claire, il doit y avoir une poussée ou une retenue : dans ce cas, il s’agissait simplement d’une faute mineure. La pénalité qui en a résulté était toujours un désastre. Petkovic a sauvé le penalty, Perisic est intervenu et l’a remis au milieu pour Petkovic lui-même, qui l’a déposé dans le filet. Cependant, après un contrôle du VAR, le but a été refusé. Perisic est vu entrer dans la surface de réparation avec son pied gauche avant le tir et à ce stade, il devient un élément actif en fournissant la passe décisive à Petkovic. La décision de l’arbitre est donc correcte. S’il n’avait pas touché l’ancien joueur de l’Inter mais un autre joueur la pénalité aurait été répétée.

L’explication de Marelli

Pour clarifier le cas Espagne-Croatie, Luca Marelli écrit sur Facebook à propos du carton rouge manqué par Rodri : “La directive est que, dans cette dynamique et avec le ballon près des joueurs impliqués dans l’action, l’intervention du défenseur . Je n’ai jamais aimé cette lecture et je ne l’aime toujours pas. Mais, jusqu’à ce que cette indication soit modifiée, nous ne pouvons que croire corrigé le carton jaune bien que la base de cette interprétation soit, à mon avis, très faible. Il n’y a pas eu de hors-jeu sur le but refusé, un empiétement du joueur croate qui est intervenu sur le ballon après l’arrêt du gardien espagnol. Annulation (c’est un cas objectif) et coup franc indirect ».

Source : Ansa

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