Achille Polonara a été interviewé par Tuttosport. Le thème principal est celui relatif à l’équipe nationale, mais l’Italien est également revenu pour parler de sa saison et de ce qui s’est passé après la Coupe du Monde. “Surtout au début, c’était très difficile. Quand on entend dire qu’il faut se faire opérer et aussi qu’il s’agit d’un cancer, ça en prend un coup. Mais maintenant, ce n’est plus qu’un mauvais souvenir. Je vais devoir passer des contrôles tous les quelques mois. , mais sans traitement. Mais la situation s’améliore, j’espère qu’à l’avenir, il ne s’agira que d’un souvenir”, dit Polonara. “Pas de peur de mourir, les médecins m’ont immédiatement rassuré. Mais peur de devoir arrêter de jouer, oui. Je me suis dit : “c’est mon heure”. Heureusement pour moi, Virtus et les équipes des différents hôpitaux de Bologne, ils étaient très proches de moi, ils étaient gentils, ils toléraient que je pose question sur question et ils me rassuraient, “tu verras qu’avec la chimio tu seras absent quelques semaines”.
Achille Polonara n’a aucun doute sur l’avenir. “Au début, je me suis battu comme si je sortais d’une pause de six mois, les autres allaient deux fois plus vite que moi. Je n’avais aucune résistance, mais je savais que ça prendrait du temps”, poursuit-il. “Les rumeurs de marché pour Virtus ? En général, je peux dire que maintenant, avec ce professionnalisme, tout le monde regarde autour de lui et suit les événements du marché. Les contrats sont moins contraignants qu’avant. Mais je suis lié à Virtus, Je me sens bien et j’espère rester longtemps“
