Volleyball, nombreux remplacements pour l’Italie dans le secteur masculin. Mais de nouveaux visages languissent chez les femmes

Volleyball, nombreux remplacements pour l’Italie dans le secteur masculin. Mais de nouveaux visages languissent chez les femmes
Volleyball, nombreux remplacements pour l’Italie dans le secteur masculin. Mais de nouveaux visages languissent chez les femmes

Les huit derniers à Lodz mais aussi la dernière semaine de compétitions VNL autorisées de nombreux joueurs du circuit italien pour se démarquer et peut-être aussi jeter quelques doutes sur Fefè De Giorgi en vue des convocations olympiques. Le mouvement masculin du volleyball italien est sain : il y a les champions, qui sont devenus des protagonistes dans le monde entier au cours des trois dernières années et il y a aussi des jeunes qui ne cessent de grandir et qui alimentent le réservoir bleu.

Les noms sont sur toutes les lèvres et ils ne font plus l’actualité, mais ce sont de très jeunes joueurs qui ont désormais conquis le rôle de propriétaire dans leurs clubs respectifs : à Paris par exemple, on verra très probablement Luca Porro, Spiker, qui a réalisé une saison très respectable à Padoue en Super League et a gravi les échelons de l’équipe nationale pour conquérir le rôle de troisième Spiker derrière le duo Michieletto-Lavia.

Même chose pour Alessandro Bovolenta qui, après une saison en tant que protagoniste dans les rangs de Ravenne, s’est montré à des niveaux très élevés, contribuant activement au succès des Azzurri à Maracanazinho contre le Brésil et jouer un match grandissant en quarts de finale contre la France à Lodz. Celle qui vient de se terminer n’était pas la saison des Tommaso Rinaldi, qui reste un excellent espoir mais qui a rencontré pas mal de difficultés cette année, notamment physiques qui ont mis à mal ses certitudes, le tout en attendant l’été bleu avec un Equipe nationale des moins de 20 ans qui, après avoir risqué l’élimination lors des éliminatoires, sera le protagoniste du Championnat d’Europe, avec de nombreuses perspectives très intéressantes que nous verrons à l’œuvre l’année prochaine entre la Super League et la série A3.

Quelque chose bouge aussi dans le domaine féminin mais ici les perspectives de très haut niveau, pour l’instant, sont certainement moins nombreuses d’un point de vue numérique. Les rôles qui ne posent pas de problèmes sont centraux et opposés, en effet la présence de joueurs très forts et très jeunes pourrait être dissuasif pour ceux qui ont de la qualité et qui sont nouveaux dans le volleyball qui compte dans ces rôles. Pour renverser Egonu d’abord, puis Antropova, Fahr, Danesi et Lubian, nous avons besoin de phénomènes réels et même pour eux, dans les prochaines années, il ne sera pas facile de s’approcher du très haut niveau.

Il y aura peut-être quelques lueurs d’espoir dans les autres rôles, même si Alessia Orro, une autre qui a certainement encore une longue carrière devant elle, vue la saison dernière, atteint le niveau des meilleures joueuses dans le rôle de passeuse, même si Moki De Gennaro ne semble jamais vieillir, même si Myriam Sylla, il est en bonne forme physique, a toutes les caractéristiques pour être un joueur clé de l’équipe nationale et Alice Degradi est prête à prendre le relais de Caterina Bosetti qui n’a pas l’intention d’abandonner, étant donné qu’elle est prête à affronter l’aventure chez Vakifbank, l’une des équipes les plus fortes du monde, certainement pas pour jouer le rôle de figurante.

Les nouveaux noms sont apparus depuis le début de l’aventure en VNL précisément dans le rôle le plus découvert de l’équipe nationale, celui de Spiker receveur : Gaia Giovannini ira à Paris et elle sera la seule véritable représentante de la nouvelle vague bleue mais aussi attentive aux émergentes Stella Nervini et Martina Bracchi sur lequel Velasco a jeté son dévolu. Il y a beaucoup de travail à faire sur la transition des secteurs jeunesse et senior. Au niveau des jeunes, l’Italie gagne beaucoup, est compétitive au plus haut niveau, mais ces dernières années, le passage qui permettait à la génération d’Orro, Egonu, Sylla, Danesi et compagnie d’être immédiatement prête à se lancer parmi les grands a été bloqué. A ce propos, il y a quelque chose à revoir dans la préparation et le parcours des jeunes joueurs et de la bonne personne. pour voir, une fois Paris fini, ça pourrait être juste Julio Velasco qui résulte d’années de travail minutieux au niveau de la jeunesse, dont les résultats sont en train d’être rassemblés.

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