Pas parmi les meilleurs mais pas parmi les pires non plus. Agenas, l’Agence nationale des services de santé, a évalué 53 hôpitaux publics, par rapport aux services fournis en 2021, se classant 9 avec un score élevé, 32 moyen, 12 faible.
Les deux hôpitaux de Messine pris en considération, Papardo et Policlinico, se situent dans la moyenne.
Papardo
Il Papardo obtient un score juste en dessous de la moyenne pour le personnel (en baisse par rapport à 2019 et 2020) et les investissements (en hausse par rapport à 2019 et 2020), juste au-dessus de la moyenne pour l’accessibilité et la gestion des processus organisationnels (légèrement en hausse par rapport à 2019), proche au niveau élevé de la durabilité économique (mais en légère baisse par rapport à 2019).
Les rubriques
Section du personnel : niveau entre élevé et très élevé pour les frais de personnel (en baisse) ; niveau légèrement supérieur au niveau moyen pour le nombre d’infirmiers et de médecins (stable); niveau entre faible et moyen pour les embauches (en baisse), niveau très bas pour l’incidence des coûts de formation (encore une légère baisse).
Section investissement : parmi les dix pires d’Italie pour l’âge des équipements, entre bas et très bas.
Rubrique accessibilité : niveau très élevé pour les prothèses de hanche, entre moyen et élevé pour le cancer du poumon, entre bas et moyen pour le cancer du sein (le seul chiffre s’améliorant, les autres stables), entre très bas et bas pour le cancer de la prostate, très bas pour le côlon cancers.
Volet prise en charge : niveau très élevé pour les hospitalisations inappropriées (stable), niveau entre haut et très haut pour le séjour préopératoire moyen (légère amélioration).
Section de la durabilité économique : niveau très élevé pour l’utilisation des contributions liées et l’incidence de la gestion extraordinaire, entre élevé et très élevé pour l’incidence du coût des services contractuels, élevé pour l’incidence du coût de la gestion des risques et du coût des médicaments, très faible pour le coût du séjour à l’hôpital , rotation des stocks de dispositifs médicaux et revenus d’incidence des services (données stables).
Les domaines cliniques
Sept domaines cliniques sont ensuite évalués, rapportant la proportion du volume d’activité de chaque domaine par rapport au total de la structure et le niveau de respect des normes de qualité. Pour Papardo, 32% pour le domaine cardiovasculaire (niveau bas, en 2020 c’était moyen), 21,3% pour le domaine musculo-squelettique (faible, en 2020 c’était moyen), 14,7% pour le domaine de la grossesse (moyen, comme en 2020), 5,6 % pour la chirurgie oncologique (faible, comme en 2020), 3,1 % pour la chirurgie générale (très faible, comme en 2020). En 2020, 8,7% des activités concernaient la zone nerveuse, avec un niveau très élevé.
Par exemple, en 2021, à Papardo, la mortalité 30 jours après un infarctus aigu (avec variables cliniques) était de 16,6 %, alors que le chiffre national est de 7,74 %, malgré le fait que 62,4 % (national 50,6 %) aient été traités par angioplastie dans les 90 minutes ; pour CABG de 6,8 % (au niveau national 2,16 %) ; la valvuloplastie ou le remplacement d’une valve cardiaque de 6,8 % (au niveau national 2,5 % ); l’insuffisance cardiaque congestive de 8,5 % (au niveau national 11,2 %). Ensuite, le pourcentage de césariennes était de 26,2 % (national 22,4 %), d’opérations dans les 48 heures pour fracture du col fémoral de 31,4 % (national 48,6 %).
En 2020, la mortalité à 30 jours par infarctus aigu (avec variables cliniques) était de 11,3%, alors que le chiffre national est de 8,25%, bien que 64% (au niveau national 50%) aient été traités par angioplastie dans les 90 minutes; pour pontage aortocoronarien 4,5 % (national 1,85 %) ; la valvuloplastie ou le remplacement d’une valve cardiaque de 3,3 % (au niveau national 2,38 % ); l’insuffisance cardiaque congestive de 10,3 % (au niveau national 11,4 %). Ensuite, le pourcentage de césariennes était de 25,8 % (au niveau national 22,7 %), les opérations dans les 48 heures pour fracture du col fémoral de 45,8 % (au niveau national 50,3 %).
Polyclinique
La Polyclinique obtient un score moyen pour la gestion des processus organisationnels (stable par rapport à 2019 et 2020), entre moyen et élevé pour le personnel (en 2019 il était élevé), l’accessibilité (légère croissance) et la durabilité économique (légère baisse), entre élevé et très élevé pour les investissements (en légère baisse par rapport à 2019 et 2020).
Les rubriques
Section du personnel : niveau entre élevé et très élevé pour le nombre de lits du personnel (en baisse par rapport à 2019, en hausse par rapport à 2020) ; entre faible et moyen pour les politiques de gestion du personnel (en baisse).
Volet investissement : niveau très élevé pour la capacité d’investissement (stable), entre moyen et élevé pour l’obsolescence des actifs (en légère baisse).
Section accessibilité : niveau entre moyen et élevé pour les délais d’attente pour les interventions (en augmentation) et aux urgences (en augmentation par rapport à 2020 mais en diminution par rapport à 2019).
Volet gestion : niveau entre moyen et élevé pour la pertinence (légèrement en croissance) et l’efficacité (légèrement en baisse), légèrement inférieur à moyen pour l’attractivité (stable).
Section durabilité économique : niveau élevé pour les dettes et la solvabilité (en baisse, elle était très élevée), entre moyen et élevé pour l’intramoenia, les coûts et les revenus, moyen pour la gestion des risques (tous en légère baisse), faible pour la gestion des entrepôts (stable) .
Les domaines cliniques
Les domaines cliniques sont également évalués ici : 26,8 % domaine du système nerveux (niveau bas), 16,4 % domaine de la grossesse (moyen), 16,2 % domaine cardiovasculaire (moyen), 9,8 % domaine musculo-squelettique (moyen), 8,2 % chirurgie générale (très élevé, en 2020 il était élevé), 5,8 % chirurgie oncologique (très faible), évaluations identiques à celles de 2020.
En 2021, à la Policlinico, la mortalité 30 jours après un infarctus aigu (avec variables cliniques) était de 16,9%, alors que le chiffre national est de 7,74%, bien que 71,7% (national 50,6%) aient été traités par angioplastie dans les 90 minutes ; insuffisance cardiaque congestive de 15 % (au niveau national 11,2 % ); AVC ischémique 14,6 % (national 10,84 %). Ensuite, le pourcentage de césariennes était de 15,6 % (national 22,4 %), d’opérations dans les 48 heures pour fracture du col fémoral de 52,5 % (national 48,6 %).
En 2020, la mortalité à 30 jours par infarctus aigu (avec variables cliniques) était de 10,3 %, alors que le chiffre national est de 8,25 %, bien que 78,3 % (national 50 %) aient été traités par angioplastie dans les 90 minutes ; insuffisance cardiaque congestive de 15,7 % (11,4 % au niveau national) ; AVC ischémique 15,9 % (national 11,12 %). Ensuite, le pourcentage de césariennes était de 25,7 % (national 22,7 %), d’opérations dans les 48 heures pour fracture du col fémoral de 55,6 % (national 50,33 %).
Piémont
Les données de l’hôpital du Piémont peuvent être obtenues auprès du National Outcomes Programme.
Domaines cliniques : cardiocirculatoire 22,8 % (très faible), musculosquelettique 18,8 % (moyen), chirurgie générale 6 % (très faible). En 2020 le domaine cardiocirculatoire était de 24,5% et un niveau très élevé, musculosquelettique 17,2% (moyen), chirurgie générale 7% (très faible).
En 2021, dans le Piémont, la mortalité 30 jours après une crise cardiaque aiguë (avec variables cliniques) était de 14,9 %, alors que le chiffre national est de 7,74 % ; l’insuffisance cardiaque congestive de 29,1 % (au niveau national 11,2 % ); opérations dans les 48 heures pour fracture du col fémoral 42,5 % (au niveau national 48,6 %).
En 2020, la mortalité à 30 jours après un infarctus aigu (avec variables cliniques) était de 3,5 %, alors que le chiffre national est de 8,25 % ; l’insuffisance cardiaque congestive de 13,2 % (au niveau national 11,4 % ); opératoires dans les 48 heures pour fracture du col fémoral 54,1 % (au niveau national 50,3 %).