«Nous nous sommes compliqué la vie», c’est ainsi qu’a commencé l’entraîneur Sanfilippo à la fin du match joué contre Milazzo. Les Siciliens ont dominé à PalaDelMauro pendant…
Déjà abonné ? Connectez-vous ici!
OFFRE SPÉCIALE
OFFRE FLASH
ANNUEL
49,99 €
19 €
Pendant 1 an
CHOISISSEZ MAINTENANT
MENSUEL
4,99 €
1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
OFFRE SPÉCIALE
OFFRE SPÉCIALE
MENSUEL
4,99 €
1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
– ou –
Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google
S’abonner
OFFRE SPÉCIALE
Lire l’article et l’intégralité du site ilmattino.it
1 an pour 9,99 € 89,99 €
Abonnez-vous avec Google
ou
1 € par mois pendant 3 mois
Renouvellement automatique. Désactivez quand vous le souhaitez.
- Accès illimité aux articles du site et de l’application
- La newsletter Good Morning de 7h30
- Toutes les newsletters thématiques
- Informations et mises à jour en direct
- Diffusions en direct exclusives
“Nous avons compliqué nos vies”, voilà comment il a commencé entraîneur Sanfilippo à la fin du match joué contre Milazzo. Les Siciliens dominèrent à PalaDelMauro pour en sortir vainqueur sur le score de 64-43. Les Irpiniens n’ont pas pu jouer à leur niveau habituel également à cause d’un virus de la grippe qui a fini par affaiblir de nombreux protagonistes d’Avellino.
Mais Avellino il n’a pratiquement jamais été en course. Le tir à trois points n’était pas la carte gagnante et quand il ne part pas, Scandone a des problèmes. 38 tentatives à longue distance, seulement 8 ont cadré et ont fini par tirer à 21%. De plus, Avellino n’a pas bien atteint la ligne et n’a pas profité des doubles possessions comme il aurait dû.
À l’exception du premier quart-temps, l’équipe du coach a pris l’avantage 15-14. Sanfilippo ils se sont toujours retrouvés à la poursuite, abandonnant les rênes de la compétition au troisième quart-temps lorsqu’ils ont sombré à -16 (47-31). Un KO qui met en péril la qualification pour les séries éliminatoires, car Piazza Armerina est désormais à deux points, mais surtout Messine a les mêmes points qu’Irpinia. Bref, tout est à refaire pour Trapani et ses acolytes.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
Lire l’article complet sur
Le matin