Pise le lendemain – Un match nul très serré / Andrea Cosimi – L’Arno.it

Pise le lendemain – Un match nul très serré / Andrea Cosimi – L’Arno.it
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Deux actions, deux buts, la fin, c’est toute la révélation de Catanzaro. L’équipe de Vivarini a eu le seul grand mérite d’avoir su exploiter à cent pour cent les deux seules amnésies défensives des Neroazzurri, pour le reste du match ils se sont limités à se défendre, littéralement écrasés dans leur moitié de terrain par les garçons d’Aquilani qui en à la fin, statistiques en main, ils ont tiré cadré huit fois contre seulement deux pour les Calabrais.

Non, nous n’avons pas vraiment vu l’écart actuel de douze points au classement. Malheureusement, Pise sort une fois de plus lourdement pénalisée par ses limites désormais consolidées et indéniables en phase défensive ; essayez simplement d’imaginer si ces erreurs de positionnement ne s’étaient pas produites hier ou tout au long du championnat. Au lieu de cela, précisément à cause de cette pathologie non résolue, en partie due à un marché incomplet et en partie à un façon d’être sur le terrain voulu par l’entraîneur, nous nous sommes souvent retrouvés à devoir rattraper des matchs largement compromis, et ce n’est que lorsqu’il n’y avait plus rien à perdre que l’équipe a une nouvelle fois démontré que, si elle s’affranchissait de l’application méticuleuse du credo tactique sur lequel elle travaille depuis le début du championnat, elle parvient finalement à être plus verticale, plus véhémente et plus incisive.

Bien que ce ne soit certainement pas décisif pour le résultat la direction de l’arbitre est insuffisante, qui est apparu « imperceptiblement » déséquilibré en faveur des invités. Les quelques fans de Giallorossi arrivés, colorés mais très calmes, peuvent être heureux d’avoir emporté un point immérité, mais certainement si ce Catanzaro pense à la Serie A, toute autre équipe de celles qui termineront de la troisième à la huitième place a droit à faites-le de même.

Oui, les playoffs, maintenant on peut y penser, jusqu’à il y a quelques semaines ça ne servait à rien d’en parler et c’était juste un exercice dialectiquement “musculaire”, étant donné qu’on a passé tout le championnat près de la zone de playout : ça Il a fallu beaucoup de bon sens et de réalisme pour fixer l’objectif du Salut, désormais atteint. Il est donc enfin temps de s’amuser et d’essayer, au départ de Crémone, le 1er mai à 12h30 : le septième et huitième place nous jouerons donc contre Brescia, la Sampdoria, Cittadella et Sudtirol, cinq équipes pour deux places.

Nous vivons donc avec beaucoup de sérénité cette finale de championnat dont la saison régulière se terminera dans seulement deux semaines.

Andrea Cosimi

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