« Quel avenir pour la santé publique italienne ? », le débat à Syracuse

« Quel avenir pour la santé publique italienne ? », le débat à Syracuse
« Quel avenir pour la santé publique italienne ? », le débat à Syracuse

« Quel avenir pour la santé publique italienne ? Nous nous interrogeons sur le sujet depuis plusieurs années et les médecins syracusains en discuteront, demain 6 juin 2024, à partir de 19 heures, au siège de l’Ordre, Corso Gelone 103, dans une réunion dédiée, en présence du le président national du Fnomceo Filippo Anelli, qui sera l’orateur principal, et de la direction générale de l’ASP de Syracuse, avec laquelle l’Ordre a établi un dialogue constructif, au nom d’une forte collaboration institutionnelle entre les organismes étatiques opérant au sein de la même mission .

Le Président de l’Ordre de Syracuse Anselmo Madeddu et le Conseil provincial, promoteurs de l’événement, accueilleront le Conseil national de l’Ordre.

“Dans les dernières années- explique Anselmo Madeddu– nous assistons à un appauvrissement progressif du système de santé publique, celui-là même que beaucoup d’autres pays nous enviaient depuis longtemps. Nous avions donc l’intention d’analyser en détail certains points qui seront abordés immédiatement après dans les différentes enceintes institutionnelles et politiques pour freiner une involution annoncée. Parmi ceux-ci : la nécessité d’un turnover favorisé par la révision des admissions universitaires ; la nécessité d’adapter la main-d’œuvre et, par conséquent, d’élever les normes de qualité. Mais aussi et surtout l’urgence d’une protection plus renforcée et mieux définie pour les personnels de santé, à tous les niveaux, avec la mise en place d’une procédure officielle en cas d’agressions et d’actes de violence contre les professionnels, notamment ceux impliqués en première ligne dans les salles d’urgence et l’évaluation d’un éventuel bouclier criminel pour les médecins. En effet, ce n’est qu’en redonnant à cette profession une solide dignité, en la rendant attractive et accessible aux nouvelles générations, qu’il sera possible d’inverser la tendance, vers un avenir de santé publique adapté à son époque et compétitif, comme c’était le cas à l’époque. passé.”

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