Bruxelles – L’écrivain et journaliste Francesco De Filippo à l’Agence pour l’Emploi de la Région Frioul-Vénétie Julienne jeudi 13 juin 2024

(AGENPARL) – Rome, le 5 juin 2024

Jeudi 13 juin à l’Agence pour l’Emploi de Région Frioul-Vénétie Julienne présentation du livre à BRUXELLES TRIESTE EST UNE ÎLE de Francesco De Filippo, dans le cadre de l’exposition L’art féminin de Trieste dans l’avant-garde italienne et européenne du XXe siècle

Jeudi 13 juin à 18h30 au Bureau de Liaison de la Région Frioul-Vénétie Julienne à Bruxelles (rue du Commerce 49) la présentation du livre aura lieu Trieste est une île (éditeur Castelvecchi) par l’écrivain et journaliste Francesco De Filippo. La réunion représente le troisième événement collatéral de l’exposition L’art féminin de Trieste dans l’avant-garde italienne et européenne du XXe sièclequi s’est tenu à l’Institut Culturel Italien jusqu’au 31 juillet, promu et soutenu par Région autonome du Frioul-Vénétie Julienne et deAssociation Foemina APS de Trieste et construit en coproduction avec Institut lui-même.

L’auteur sera présenté par Marianna Accerboni, créateur et commissaire de la rencontre et de l’exposition, et par un représentant du Cercle bruxellois de l’Association Giuliani nel Mondo.

Le livre est un roman policier intense, complexe mais aussi ironique dans lequel un ancien agent des services secrets, napolitain temporairement en exil à Trieste, se retrouve obligé d’enquêter sur une histoire qui trouve ses racines dans les dernières et difficiles années de la Seconde Guerre mondiale. . , crucial pour le sort de Trieste. Celles dans lesquelles ont vécu et travaillé intensément les artistes protagonistes de l’exposition organisée à l’Institut Culturel Italien : Leonor Fini, active à Paris mais toujours très proche de la ville, Maria Lupieri, Maria Melan, Anita Pittoni et une très jeune Miela Reina. Le protagoniste, Vincenzo Tagliente, à la suite de l’histoire d’un touriste rencontré par hasard, découvrira les tragédies survenues sur le territoire qui appartient aujourd’hui à la Slovénie, le drame des 300 000 réfugiés d’Istrie, l’épuisante période d’après-guerre. pouquoi – déclare De Filippo – la ligne qui sépare le passé du présent est toujours illusoire et, en joignant des dizaines de morceaux, des existences douloureuses qui ne demandaient qu’à être témoins sont miraculeusement recomposées.

De Filippo raconte tout cela avec maestria, constituant une mosaïque qui voit non seulement une extraordinaire richesse linguistique mais aussi une sorte de fusion et d’interpénétration des niveaux et des styles narratifs. C’est comme si les formes d’écriture trouvaient toutes un nid ensemble, et en cela la métaphore de l’île que l’auteur cite souvent trouve sa place.

Francesco De Filippo (Naples, 1960) Écrivain, essayiste et journaliste italien, il est l’auteur de plus de vingt livres, dont des romans, des essais et autres, dont plusieurs ont été traduits en France, en Allemagne et en République tchèque. Son premier roman, C’est aussi une histoire d’amour (Rizzoli, 2001), a remporté le prix Cypraea, est entré dans le top cinq du prix Berto et a été finaliste pour le prix Arezzo. Le prochain, Le plomb du canot (Mondadori, 2004), a été publié en République tchèque et en France, où il a été sélectionné pour le Supercampiello Europa et pour le prestigieux prix Polar. La metteure en scène Maria Luisa Bigai en a ensuite réalisé une pièce de théâtre intitulée Atterrissage de bêtes/perplexité. De nombreuses de ses histoires ont été publiées dans des journaux et des périodiques (la Repubblica, Carta, Il manifeste) et apparaissent dans diverses anthologies. Les droits de certains de ses romans ont été acquis par deux sociétés de production pour réaliser des films. Il a remporté des prix littéraires internationaux, dont le Paris Noir. Déjà correspondant pour Le soleil 24 heures, est responsable de l’Agence Ansa pour le Frioul-Vénétie Julienne. Parmi ses dernières œuvres Philosophie pour les autres humains (avec Maria Frega – Giunti, 2020), et pour Castelvecchi La nouvelle route de la soie (2019), Pas de vaccin : le grand rêve nié (2022) et les romans Les visions de Johanna (2019), Nous avons d’abord exterminé les oiseaux… (2020).

Marianna Accerboni sera présente à l’Institut Culturel Italien, disponible pour des visites guidées au public, lundi 10 et mardi 11 de 17h30 à 21h, mercredi 12 de 14h à 17h et vendredi 14 de 19h à 21h.

Le projet d’exposition se déroule sous le patronage de Commune de Triestepartenaire média Le petitle quotidien de Trieste, et avec l’organisation de Association Giuliani dans le monde Et Club AGM de Bruxelles, Organisation du Frioul dans le monde Et Furlan Fogolaire de Bruxelles et la contribution de Fondation CRTrieste, Ciaccio Arte – Groupe d’assurance Big Broker (Milan), Francesco Katalan compagnie maritime Srl (Muggia, Trieste), Société agricole Zidarich (Trieste), Rotary Club Trieste Haute Adriatique, Biesse Fournitures électriques Studio Luce, Vidéo Trieste, Graphiques Gorizia.

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