Gioia Tauro, se fait passer pour un membre des Brigades rouges et menace de mort les utilisateurs des réseaux sociaux

Gioia Tauro, se fait passer pour un membre des Brigades rouges et menace de mort les utilisateurs des réseaux sociaux
Gioia Tauro, se fait passer pour un membre des Brigades rouges et menace de mort les utilisateurs des réseaux sociaux

L’armée révolutionnaire a promulgué une condamnation à mort définitive“, ce n’est qu’un des messages apparus dans commentaires sur la vidéo Youtube avec la signature Brigate Rosse. Vidéos dont le contenu a été jugé inadapté et donc passible de la peine “justice sommaire« . Ainsi, un Italien résidant dans le Trentin-Haut-Adige aurait proféré des menaces de mort et des messages menaçants qui suggéraient également une tentative de traquer.

Les carabiniers de Gioia Tauro ont tout de suite compris le problème danger de ce personnage, sans sous-estimer le contenu des messages qu’il a publiés. Aux enquêtes ultérieures a également participé le Groupe opérationnel spécial des carabiniers, qui a mené toutes les investigations nécessaires, grâce à la très haute spécialisation de son personnel. Nous avons ensuite retrouvé la personne tenue pour responsable des propos menaçants. Grâce aux investigations il a donc été possible de découvrir qu’en réalité l’auteur des messages n’avait aucun contact avec les cercles subversifs des Brigades rouges ou les Nouvelles Brigades Rouges.

Gioia Tauro, les menaces du faux membre des Brigades Rouges

Le premier commentaire publié par le citoyen du Trentin Haut Adige visait une vidéo publiée sur Youtube par deux hommes politiques. “L’armée révolutionnaire a promulgué une condamnation à mort définitive», l’homme s’est donc retrouvé sous la loupe de la police de Gioia Tauro, qui s’est immédiatement inquiétée de l’apparition du message. Depuis ce moment, plusieurs commentaires menaçants, portant souvent le signature des Brigades rouges, des Nouvelles Brigades rouges ou du Parti communiste combattantont commencé à apparaître sur la plateforme sociale.

On sait où tu habites, ce que tu manges, à quelle heure tu as pris le train“, la peine de mort sera exécutée par le peloton d’exécution du prolétariat», telle était la teneur de certains commentaires qui, peu de temps après, ont été immédiatement supprimés par l’auteur. Malheureusement pour lui, les forces de police de Gioia Tauro étaient déjà en possession des messages et, sur cette base, elles ont tenté d’en retrouver l’auteur.

La principale difficulté de l’enquête résidait dans le fait que l’auteur, ou les auteurs présumés, utilisaient des récits différents, tous avec surnom FAUX. Certains d’entre eux portaient également l’acronyme KGB dans leur nom. Grâce aux investigations, il a toutefois été possible d’identifier le citoyen trentinois, qui est donc présumé avoir agi seul.

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