Giovanni Toti est toujours assigné à résidence. La demande de libération a été rejetée. “Danger de récidive”

Giovanni Toti est toujours assigné à résidence. La demande de libération a été rejetée. “Danger de récidive”
Giovanni Toti est toujours assigné à résidence. La demande de libération a été rejetée. “Danger de récidive”

Le Président du Région Ligurie Giovanni Toti rester avec maison.juge pour eux enquêtes préliminaires Paola Faggioni, en fait, il a la demande de révocation a été rejetée présenté par légal de la Le gouverneur Stefano Savi.

Tangenti Ligurie : Giovanni Toti reste assigné à résidence. La demande de libération a été rejetée

Le juge d’instruction, dans l’ordonnance de rejet de la demande de révocation de la mesure conservatoire déposée le 10 juin par l’avocat Savi spécifiquepour que le besoin de précaution demeure connecté à danger concret et actuel de récidive d’un comportement criminel similaire”.

À cet égard – écrit Faggioni – « ils notent d’abordou les mêmes méthodes de conduite criminelle contestée qui ont émergé au cours des enquêtes, d’où le caractère systématique du mécanisme de corruption, réitéré sur une période de temps considérable ».

À l’occasion Et en conjonction avec chacune des quatre compétitions électorales qui se sont succédés tout au long de cette enquête (environ 18 mois) – élections administratives du Savone (octobre 2021), élections locales de Gênes (juin 2022) élections politiques nationales (25 septembre 2022) et élections locales de Vintimille Et Sarzana (mai 2023) – le suspect, poussé par la nécessité de lever des fonds pour faire face au campagne électorale, a mis sa fonction, ses pouvoirs et son rôle à la disposition des intérêts privés, en échange de financement, promis Et concrètement prévu. Ce mécanisme a été constaté en référence à deux entrepreneurs différents, les Spinelli et Moncada”.

“Le enquêtes c’est lu – Je suis en plein essor et, en particulier, ils sont les auditions des fonctionnaires et dirigeants de la Région Ligurie sont en cours conscients des faits pour lesquels on procède, qu’ils pourraient très bien subir un conditionnement de la part du suspect ou pressions pour faire une reconstitution pratique des événements.

Ce risque »apparaît clairement particulièrement élevé lorsque le suspect reprend l’exercice des fonctions exercées” poursuit le juge qui rapporte un épisode qu’il juge “significatif”.

Détecteren particulier, le comportement insaisissable réalisé par Toti continue le juge – lors des enquêtesdans lequel il essayait toujours de choisir places « réservées » (le bateau Spinelli ou la maison de Spinelli Aldo) afin de échanger des demandes mutuelles de faveurs, éviter d’aborder certains sujets en public. Ils sont également particulièrement significatifs les précautions adoptées lors des boat meetingsce qui s’est produit précédemment distanciation de tout téléphones de la interlocuteurs, comme l’a observé directement Police Financièreméthode également adoptée lors de la rencontre avec l’entrepreneur Moncada à l’intérieur du bureau du Président de la Région ».

En outre, lorsque les réunions ont eu lieu dans des lieux publics, écrit Faggioni «Ils ont été spécialement choisis endroits moins fréquentés ou de toute façon apte à échapper aux contrôles d’enquête. Sur ce point, à titre d’exemple, on peut citer : conversation tenue le 03.10.2021 par Giovanni Toti avec Signorini se réunir le lendemain et au cours de laquelle le premier a justifié le choix du lieu (« Le Cicale – Bistrot » d’Albaro, sur la Piazza Leopardi) car, en plus d’être moins fréquenté, il aurait été plus difficile de se faire entendre en raison de le bruit de la circulation qui y est présent (“S’il ne pleut pas, nous sortirons au Cicale à Albaro, il y a cette petite place où ils m’ont emmené une fois avec toi… il y a de la place, personne ne nous dérange et nous pouvons parler. .. les voitures passent, il y a du bruit de fond…”)”.

Il y a aussi ceux qui pèsent sur le rejet de la demande de révocation de l’assignation à résidence de Toti quelques discussions WhatsApp retrouvé par la Police Financière lors de la copie médico-légale.

Un exemple est celui entre le président et son secrétaire Marcella Mirafiori et signalé dans l’ordonnance du rejet par le juge Paola Faggioni. De cette conversation, le juge écrit “il est entendu que Toti, entre le 23 et le 24 mars 2023, s’est rendu au PrIncité à Monaco pour passer un court séjour de vacancesae que, parmi les engagements programmés, il y avait un déjeuner avec Aldo Spinelli. Le 24.03.2023, de retour en Ligurie, le suspect a informé Mirafiori de la volonté de Spinelli de se joindre au dîner de collecte de fonds, en payant le montant pour la participation de 10 personnes (égal donc à 4 500 euros, en tenant compte du fait que le montant minimum par personne était égal à 450 euros) ».

«Il est particulièrement significatif que, au cours de la conversation susmentionnée, Toti – évidemment sur la base d’accords préalables avec Spinelli – ait fait référence à un somme qu’il aurait reçu de Spinelliplus loin que celui « officiel » de la participation au dîner électoral (“Spinelli m’a dit qu’il fait 10 places. Puis le reste… on ajuste“), en utilisant une expression (” le reste “) fréquemment utilisée aussi bien par Toti que par Spinelli pour désigner, de manière allusive, les utilités objet du accords corrompus ».

Et encore, dit le juge d’instruction “pensez à la conversation – mentionnée dans l’ordonnance de précaution – qui a eu lieu entre Giovanni Toti, immédiatement après la rencontre qui a eu lieu sur le bateau de Spinelli le 01/09/2021, avec Mirafiori, au cours de laquelle il l’a informée des intentions de Spinelli de procéder à un décaissement de argent (« Envoyez les documents au secrétaire de Spinelli où nous voulons qu’il fasse un paiement, ce qui rendra cela normal, comme tout le monde en somme… » et « faites-leur vous dire qui c’est… alors faites-le et puis après je vous dirai la suite oralement »).

Toti, on s’en souvient, a été arrêté le 7 mai dans le cadre deenquête du parquet génois pour corruption, échange de voix et faux.

L’avocat De Toti, Stéphane Savi, avait déposé la demande du 10 juin demandant la révocation de la mesure ou bien l’un des siens atténuation.

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