L’Italie gagne dès ses débuts. Cucci : “Spalletti est prêt pour mille publicités. Peur ? Non, ce n’est pas son genre”

L’Italie gagne dès ses débuts. Cucci : “Spalletti est prêt pour mille publicités. Peur ? Non, ce n’est pas son genre”
L’Italie gagne dès ses débuts. Cucci : “Spalletti est prêt pour mille publicités. Peur ? Non, ce n’est pas son genre”

Une victoire qui donne de l’espoir. Italo Cucci, dans le Corriere dello Sport, a analysé la victoire des Azzurri : “Peur ? Non. Exagéré. Comme pour les héros chantés la veille. Malheureux est le pays qui en a besoin. L’aigle de Castriota le griffe au premier soupir, la tête de Bastoni applaudit le relève, la poussée de Barella explose en lui, Luciano est le prophète de la Nouvelle Italie… Péripatétic, il pense aux étapes, il efface, pensivement, mille images avec la bouche grande ouverte et les yeux de feu victoire. , Spalltone est prêt pour mille publicités de plus que Mancini.”

Et le succès de ses débuts s’est construit grâce à la personnalité d’un entraîneur qui a su rester calme, sans avoir peur : “Il vient de Certaldo, la ville de Boccace, mais c’est un frère dominicain, des Domini Canes, les chiens du Seigneur qui aboie la foi du football contre les hérétiques. Il est apparu à la télé, sur Tg1, avant Italie-Albanie, il n’est pas apparu en Westphalie, mais entre San Pietro et le Quirinale, j’aurais payé on ne sait quoi pour le voir. devant la télévision pendant que l’Espagne ennemie battait la Croatie. Non, ce n’est pas le genre.

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