l’entreprise gagne, l’hôpital fait appel

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ANCONA Nouveau bâtiment de direction à Torrette : le litige entre l’entreprise et l’hôpital universitaire des Marches arrive au Conseil d’État. Le nœud à dénouer : le…

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ANCONA Nouveau bâtiment de direction à Torrette: le conflit entre l’entreprise et l’hôpital universitaire de Marches arrive au Conseil d’État. La question à résoudre : la légitimité ou non de l’acte par lequel la direction de la citadelle sanitaire a révoqué la mission de Cogepa Spa, l’entreprise de construction napolitaine qui a remporté il y a un an le maxi contrat de 7,9 millions d’euros annoncé pour construire le nouveau centre administratif de Tourelles.

Le premier tour

Avec une résolution signée ces derniers jours par le directeur général d’Aou Armando Gozzini, l’avocat Maurizio Boifava du Tribunal de Monza a été chargé d’initier le recours au Conseil d’État contre la sentence prononcée en mai dernier par le Tribunal administratif régional des Marches. Les juges administratifs, acceptant les arguments de la Cogepa, ont annulé la résiliation contractuelle (datant de décembre 2023) du contrat du nouveau pôle de gestion. La révocation a été décidée sur la base d’un problème né de l’inscription de la société sur les listes blanches de la Préfecture. Désormais, la balle passera aux juges du Palais Spada. Mais entre-temps, les travaux sont au point mort depuis un moment. Le chantier du nouveau bâtiment, livré en mai 2023, aurait dû être achevé d’ici le 1er janvier 2025. La ligne d’arrivée ne sera probablement pas atteinte avant 2026. Et les retards auront forcément des conséquences sur le chantier du nouveau Salesi.

Fois

Le projet est pratiquement arrêté depuis la résiliation du contrat. La grue de l’entreprise surplombe toujours le chantier, qui doit conduire à la construction d’un complexe de 5 000 mètres carrés sur trois niveaux. La structure a été conçue pour abriter la direction générale, les bureaux administratifs de l’Aou delle Marche et une centaine d’employés. Mais aujourd’hui s’esquissent les fondations du bâtiment qui s’élèvera un jour devant l’ancienne entrée de l’hôpital. L’entreprise hospitalière avait fini par révoquer le contrat du nœud des listes blanches, ces listes établies dans chaque préfecture qui ont pour but de rendre plus efficaces les contrôles anti-mafia en matière d’activités entrepreneuriales.

Le réimmatriculation de la société, préalablement soumise au contrôle judiciaire, a été ordonné le 12 décembre 2023, au lendemain de la résolution signée pour la résiliation contractuelle. Selon les juges du TAR, l’entreprise hospitalière « aurait dû attendre l’issue de la procédure d’actualisation de la position » de l’entreprise en cours devant la Préfecture. «Et une fois la provision correspondante acquise, vérifier que l’entrepreneur n’a pas perdu l’obligation de contracter avec l’administration publique». Le recours auprès du TAR a donc été accepté.

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Courrier Adriatique

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