“Un sommet sur la sécurité immédiatement”

Deux incendies en une semaine, dégradations, vandales, sans-abri et selfies très dangereux au sommet de l’ancien hôpital de sept étages, au péril de leur vie, le nouveau jeu des adolescents de Vimercate. Après les derniers événements, la Municipalité demande à Asst des mesures de sécurité urgentes en attendant que la grande zone située au cœur de la ville soit vendue et que commence la reprise attendue depuis des années. Une opération de plus en plus lointaine : la vente aux enchères lancée par l’hôpital n’a pas abouti. La première date limite fixée au 29 mars a en effet été prolongée jusqu’au 13 mai, mais aucun constructeur ne s’est manifesté. En attendant, les anciens départements restent un refuge pour les vagabonds, mais surtout des montagnes à gravir pour relever des défis sur les réseaux sociaux. Le 112 reçoit avec une certaine fréquence des appels d’alarme signalant des très jeunes “au sommet”, mais quand les gazelles arrivent, les bandes de garçons se sont déjà déléguées. Le sommet de sécurité aura lieu le 2 juillet, “l’accès à la structure doit être empêché le plus tôt possible”, déclare l’adjoint au maire, Mariasole Mascia, chargé du projet et qui participera au sommet avec le maire Francesco Cereda. : “Nous demanderons une solution au directeur de Asst Brianza, Carlo Tersalvi”. Derrière le problème actuel se cache le sort du secteur abandonné en 2010, lorsque médecins et infirmières se sont installés aux portes d’Oreno, dans le nouveau site hospitalier donnant sur le périphérique. La Région, propriétaire du complexe, après un processus de restructuration difficile, avait lancé un nouvel appel d’offres pour le vendre, mais à moitié prix : 11 millions dont un pour la réhabilitation, au lieu des 20 estimés en 2009 par l’Agence des Finances. Cette fois encore, c’est le fisc qui a établi la base de départ, mais le marché continue de dire non. La rénovation, qui comprend un mélange de fonctions publiques et privées, des bureaux, des magasins, des boulevards, une place et la plus grande maison communautaire de la province ainsi que d’autres services de santé, est probablement trop coûteuse.

Une conception conçue pour donner à la zone une identité en phase avec son temps et avec la nécessité de valoriser les thérapies et les traitements sur une superficie totale de 130 mille mètres carrés, d’une valeur théorique de 320 millions et qui voudrait laisser le passé derrière elle. En plus de l’ancien monobloc mis aux enchères, au centre de l’accord-programme qui créera le nouveau quartier modèle, il y a deux autres zones privées (70 mille mètres): le Cava Cantù, où les travaux ont déjà commencé et l’ancienne ferme agricole. Consortium . Du côté du public, cependant, un grand point d’interrogation demeure.

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