Futsal, tremblement de terre en Serie A : Naples prend également position

Futsal, tremblement de terre en Serie A : Naples prend également position
Futsal, tremblement de terre en Serie A : Naples prend également position

Coup dur des présidents des clubs de futsal de Serie A envers la Ligue, à laquelle ils ont répondu par une déclaration ferme. Voici le document.

Article de la rédaction du SDS24/06/2024

Aujourd’hui, une déclaration signée par Club de futsal de Serie A il a été présenté en réponse au dernier communiqué de la Lega Calcio a 5 et Naples a également participé à l’action diplomatique. Vous trouverez ci-dessous la section fondamentale du document.

Le communiqué des clubs de futsal

« L’Assemblée des Présidents de la Serie A de Futsal Football souhaite exprimer toute sa préoccupation quant aux perspectives d’avenir de la discipline, notamment à la lumière des récentes positions exprimées par la Division de Futsal elle-même (avec la note du 30 mai) concernant la confirmation de obligations de participer au jeu (3 non entraînés lors de la saison sportive 2025/26).
Cette note reflète malheureusement une attitude fermée, surtout à la lumière du non-respect des demandes présentées par les entreprises, ce qui aura de graves répercussions économiques qui s’ajouteront à la situation déjà difficile à laquelle nous sommes confrontés.
Tout en reconnaissant l’importance de maintenir une ligne directrice claire, nous ne pouvons ignorer que cette décision est allée bien au-delà du règlement du CONI et des principes établis par l’UEFA en matière d’intégration et de mobilité des athlètes, à travers l’introduction du “joueur local”. Il n’est guère tenable que l’accès au sport et au travail soit limité à autant de joueurs titulaires d’un passeport italien, surtout lorsqu’ils jouent ou ont joué pour des équipes nationales. Mais l’élément le plus critique reste celui d’ignorer complètement le cri d’alarme lancé par les entreprises. Cette présidence a refusé à plusieurs reprises le dialogue et la discussion, alors que les entreprises demandaient seulement à être écoutées.
Nous souhaitons souligner à quel point un point critique de la réforme relative aux limitations du nombre de joueurs non formés concerne la méthode. Cette réforme a été imposée, imposée d’en haut, sans discussion approfondie sur les modalités et les délais d’application et, en fait, elle s’est avérée contre-productive et le sera de plus en plus. Les coûts pour les clubs ont augmenté et, contrairement aux objectifs déclarés, nous avons assisté à une nette baisse de la qualité au haut niveau, avec pour effet que la dimension compétitive du futsal italien va continuer à s’aggraver, et nous en voyons les signes avec l’équipe nationale, dont le meilleur résultat ces dernières années est le quart de finale européen en 2016, accompagné de deux amères éliminations dès la phase finale de la Coupe du monde. Les assurances continues de la présidence sur la durabilité économique n’ont pas été caractérisées par des stratégies concrètes de soutien aux entreprises, laissant les indications sans substance. Continuer à parler de durabilité sans mettre en œuvre des mesures concrètes pour soutenir les sociétés relève tout simplement de la démagogie.
Nous avons toujours fait preuve de cohérence en rejetant cette réforme et, malheureusement, nous nous retrouvons constamment à demander des mesures qui n’arrivent jamais. Il est paradoxal que la même cohérence qui nous est demandée pour ne pas avancer nos critiques contraste avec le projet présenté par la gouvernance actuelle, qui envisageait la Serie A comme le « produit » le plus attractif et commercialisable du football à cinq italien.
La récente réforme du travail sportif a encore aggravé les difficultés économiques des clubs, déjà éprouvées par un contexte difficile. Le marché des quelques acteurs italiens prêts pour le haut niveau se caractérise par des exigences économiques insoutenables et par la spéculation de (pseudo) agents/mandataires.
Le classement FIFA ne reflète pas le véritable potentiel de notre Futsal, mais nous pensons qu’il reflète pleinement la politique sportive de cette présidence.
Nous demandons donc à la Division Futsal d’écouter nos préoccupations et d’envisager une révision des politiques actuelles afin d’assurer une plus grande compétitivité au plus haut niveau et une plus grande équité et cohérence entre les championnats masculins et féminins. La Serie A féminine excelle au niveau international, tandis que la qualité technique et les résultats de la Serie A masculine sont en fort déclin. Il est impératif que notre sport reflète les valeurs d’inclusion et d’égalité, conformément aux attentes sociales actuelles en matière d’égalité des sexes.
Les conditions économiques actuelles ne permettent pas à de nombreux clubs de garantir une participation au prochain championnat. Il est essentiel que notre gouvernance actuelle agisse par des décisions rapides et efficaces, faisant preuve de soutien et de proximité avec les entreprises qu’elle représente.
Notre dissidence, nous le répétons, est une dissidence que la majorité des entreprises continuera à exprimer, en l’étendant à d’autres catégories nationales, jusqu’à atteindre les sièges institutionnels.

Dans un monde en constante évolution, où le sport est de plus en plus porteur de valeurs et moteur économique, nous ne pouvons pas nous permettre d’être laissés pour compte. La Serie A et le football national à cinq en général doivent devenir un modèle d’excellence, un exemple de la manière dont la gestion sportive moderne peut allier passion, performance et progrès économique.
Nous avons plus que jamais besoin de proximité, d’attention et de solidarité de la part de la gouvernance. Sans stratégies de croissance concrètes, le football à cinq restera immobile et paralysé. Alors, quels clubs de football à cinq auront les moyens d’avancer ?
Nous avons besoin d’un projet, présent et futur, basé sur la durabilité, la compétitivité, la croissance et le divertissement mais surtout la solidarité, le soutien et la proximité avec les entreprises qui, avec beaucoup de courage, affrontent les difficultés de gestion de la réalité du sport amateur, sans aucun soutien économique et moral concret. aide .

Notre Président doit aimer le futsal italien pour l’adapter à l’époque actuelle et ne pas le laisser stagner ou, pire, le conduire vers un déclin irréversible. C’est pourquoi elle doit s’identifier aux difficultés quotidiennes des sociétés, en leur garantissant le soutien nécessaire.
Nous vous assurons que notre passion est toujours vivante : nous sommes conscients que c’est nous, tous les clubs nationaux de football à 5, la Division Football à 5 ​​!

Vive le futsal italien !

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