Légumes, les prix de gros continuent de baisser

Tous types de tomates et leurs différentes origines (pvn et pvestera) – poursuit Merci – ont montré quelques difficultés en termes de quantités commercialisées. Les prix restent bas depuis la première semaine de juin (botte 0,80/0,90 €/kg – cerise 1,50/1,70 €/kg – datterino 1,80/2,00 €/kg).
Les légumes feuilles, notamment les laitues (gentile et cappuccia), inversent la tendance des dernières semaines et affichent des prix en hausse (gentile 1,30/1,50 €/kg – cappuccia 1,10 €/1,30/kg ) ».

« Il n’y a pas de variantes particulières en revanche pour la laitue iceberg d’origine étrangère (1,50/1,80 €/kg). Le marché du fenouil est, en cette période, tout à fait satisfaisant : le produit n’est pas abondant et les prix restent bons (1,80/2,00 €/kg). Les poivrons produits localement entrent dans la liste de prix. Actuellement, le produit d’origine méridionale (Campanie et Sicile) est de bonne qualité et a des prix stables (jaune et rouge en double couche 1,80/2,00 €/kg) ».

Enfin, le réalisateur nous donne un bref aperçu des fruits d’été: « La situation est relativement stable avec des prix des produits en légère baisse. La saison a démarré « timidement » en raison de la météo fluctuante. Les pêches, nectarines et cerises de plus gros calibre sont recherchées. La quantité de fruits entrants est plus petite mais satisfait néanmoins à la demande du produit. Nous profitons de l’occasion pour recueillir quelques réflexions sur l’avenir du Centre Agroalimentaire Scaligero : « avec le démarrage imminent des travaux de modernisation du marché des fruits et légumes liés au projet bien connu avec deux interventions financées en grande partie par les fonds du PNRR ( têtes réfrigérées avec flux de produits numérisés et nouveau système photovoltaïque), l’entreprise, grâce à sa situation au cœur du Quadrante Europa Interport, entend désormais exploiter de nouvelles opportunités dans le secteur de la logistique, avec la création d’une nouvelle grande plate-forme, capable de attirer des opérateurs et générer des services, non seulement pour l’export et les régions proches, mais aussi pour le territoire et la ville”.

Le travail d’équipe au sein du réseau Italmercati sera donc fondamental – précise Merci – pour rechercher de nouveaux outils pour financer le développement stratégique des marchés, permettant la création de projets et de fonctions qui permettent aux marchés eux-mêmes de redevenir protagonistes de la chaîne agroalimentaire, en notamment en ce qui concerne :
▪ renforcer les possibilités d’accès au marché ;
▪ possibilité d’accès au crédit, en fonction des besoins de nouveaux investissements ;
▪ renforcer l’effet de levier des ressources publiques investies ;
▪ parvenir à la durabilité à long terme.

Après ces réflexions prospectives, nous revenons sur l’actualité et nous vous proposons un aperçu photographique avec les prix relatifs des produits mentionnés dans l’article.

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