puissance et musique. Maranello présente la Gran Turismo qui tire son nom de l’architecture du moteur le plus cher

puissance et musique. Maranello présente la Gran Turismo qui tire son nom de l’architecture du moteur le plus cher
puissance et musique. Maranello présente la Gran Turismo qui tire son nom de l’architecture du moteur le plus cher

Chaque Ferrari a un nom et surtout un prénom, mais la nouvelle 12Cilindri est quelque chose de plus car, comme l’Enzo ou la LaFerrari, elle fait référence aux archétypes d’une histoire qui a commencé en 1947 avec une douzaine de cylindres, placés devant des wagons appelés 125 S. et 166. Il aura fallu attendre la 365 GT4/BB, présentée au Salon de Turin 1971, pour voir une Ferrari de route avec le moteur derrière le pilote, 10 ans après la 156 F1 de course. L’ancienne séduction du Gran Turismo à moteur avant V12 du Cheval cabré revient régulièrement dans sa forme la plus pure et c’est encore le cas sur la 12Cilindri. Downisizing, réduction du nombre de cylindres et électrification sont en fait des concepts qui ne s’en rapprochent même pas, même si Maranello gagne avec l’hybride aux 24 Heures du Mans et prépare la première électrique, ou plutôt la première deuxièmement, comme l’a révélé l’administrateur délégué, Benedetto Vigna, à l’occasion de l’inauguration du bâtiment électronique en présence du Président de la République, Sergio Mattarella.

L’e-building est le symbole d’une Ferrari qui est attentif à l’environnement, n’oublie pas la tradition, respecte et valorise le territoire et, en même temps, veut cultiver son histoire tout en regardant vers l’avenir, comme le démontre le E-Cells Lab récemment lancé avec l’Université de Bologne pour l’étude de la chimie des batteries. Le 12Cilindri, c’est aussi la chimie, non pas celle des ions lithium mais celle des émotions, des saveurs simples et fortes. La nouvelle biplace de Maranello mesure 4,67 mètres de long et rappelle les Ferrari GT des années 50 et 60 avec un style qui rappelle de face la 365 GT4 Daytona de 1968 et qui, tout comme la nouvelle venue, avait une berlinette. version et une Spider.

La hotte embarque deux prises NACA à l’envers tandis que l’habitacle et la partie arrière constituent un joli saut dans le futur, avec des surfaces noires brillantes qui créent une seule flèche avec le pare-brise, la porte et le toit, et une lunette arrière “Delta Wing” qui s’élargit comme s’il s’agissait de la tête du Jeeg. robot en acier embrassant les amas lumineux. Une véritable Ferrari nouvelle qui, comme les autres, cache sous des formes admirables la fonction aérodynamique composée d’admissions et d’aérations pour le refroidissement, d’appendices actifs et de générateurs de vortex chargés de coller la voiture à l’asphalte tout en minimisant la résistance. Le cockpit, cependant, est un et trois, dans le sens où le tableau de bord dispose de trois écrans : un de 15,6″ pour le conducteur, un de 10,25″ au centre et un de 8,8″ qui fait du passager un véritable copilote, comme cela se produisait sur les voitures de course. à l’époque d’Enzo Ferrari, où les intérieurs n’étaient certainement pas recouverts d’Alcantara recyclé à 65 %. La carrosserie utilise également de l’aluminium recyclé, qui est 15 % plus rigide, ce qui permet au Spider de faire pencher la balance à seulement 65 kg de plus pour avoir un toit rigide qui se rétracte ou s’étend jusqu’à 45 km/h en 16 secondes. La dynamique, en plus de la répartition fondamentale des masses de 47,8% sur l’essieu avant et de 52,2% sur l’arrière, peut compter sur le capteur 6 axes, le freinage électrique, l’eDiff, le Side Slip Control 8.0 et 4. -direction des roues avec actionneurs indépendants pour chaque roue, montées sur jantes 21″ et avec pneus 10% plus lisses.

Et puis il est là: le V12 F140HD de 6,5 litres à 65° d’inclinaison dérivé de celui du Superfast et amélioré pour délivrer 830 ch à 9 500 tr/min. Pour atteindre 128 ch/litre, nous avons travaillé sur la friction de la distribution et adopté des bielles en titane, des pistons dans un nouvel alliage d’aluminium et un vilebrequin allégé de 3 %. Nouveau système d’admission avec trompettes à géométrie variable, alimentation en carburant avec injection directe à 350 bars et 3 admissions par cycle et échappement avec deux lignes 6 en 1 équipées de conduits d’égale longueur, catalyseur en céramique et filtre anti-particules pour surmonter les normes anti-particules plus strictes. -règlementation en matière de pollution. Pour la première fois sur un moteur atmosphérique, Ferrari applique une technologie qui modifie le couple en fonction du rapport de démultiplication engagé, améliorant ainsi la progression et la sonorité du V12. À cet égard, la transmission à double embrayage à 8 rapports est 30 % plus rapide. Les chiffres : plus de 340 km/h, de 0 à 100 km/h en 2,95 s. et jusqu’à 200 km/h en 8,2 s.

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