« Mais quelle intimidation contre Contrario ! Le Parti démocrate agit en victime”

« Mais quelle intimidation contre Contrario ! Le Parti démocrate agit en victime”
« Mais quelle intimidation contre Contrario ! Le Parti démocrate agit en victime”

Mais quels incidents de harcèlement ! Les groupes majoritaires de la Mairie renvoient à l’expéditeur les accusations portées contre eux par le groupe dirigeant du Parti Démocrate Ionien et relancent : “Le Parti Démocrate – disent-ils – lorsqu’il ne peut pas attaquer, il agit comme une victime”.

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Casus belli est l’empêchement du leader du groupe Pd au Conseil, Luca Contrario, de déclarer le vote de la résolution sur l’augmentation des tarifs Tari. Face à des réductions importantes dans les fonctions de catégories telles que les bars, les gîtes touristiques, les distributeurs de carburant, les restaurants (réductions allant de 11 à 53%), le conseiller Contrario a proposé de réduire les rabais et de redistribuer les excédents aux familles en difficulté économique et au commerce de quartier aux prises avec une crise urgente.
Proposition rejetée par l’expéditeur au Conseil. Et les groupes majoritaires reviennent sur ce qui s’est passé aujourd’hui pour prendre leurs distances avec les accusations de harcèlement portées contre eux par le Parti démocrate. « Le leader du Parti démocrate – affirme la majorité – a été visiblement surpris par la disposition sur le TARI approuvée par le conseil municipal. Contrario s’attendait à une résolution dans les larmes et dans le sang, comme son parti politique l’avait annoncé de manière irresponsable. Il est dommage que les choses au Conseil se soient déroulées exactement à l’opposé de ce que le chef du groupe avait prévu. Non seulement il n’y a pas eu d’augmentation des taxes, mais en réalité, pour de nombreuses catégories d’utilisateurs, des réductions significatives ont été enregistrées. À ce stade – ajoutent les groupes majoritaires – ne sachant pas exactement quoi dire, le conseiller Contrario s’est lancé dans une dissertation relative aux différentes catégories d’usagers, malgré le fait que dans des interventions antérieures, on lui avait déjà fait remarquer que ces catégories ne sont pas établis par le Conseil municipal mais sont prévus par une législation à caractère général” et depuis les bancs du Conseil, ajoutent les conseillers de la majorité, “il a été souligné une fois de plus que le tableau des catégories n’était pas une matière susceptible d’être modifiée par le Conseil » comme cela est prévu « par un règlement général ».
C’est pourquoi, selon la majorité, le chef du groupe PD, ne sachant que dire, « s’est mis en colère et a commencé à argumenter qu’il n’avait pas le droit de parler, jouant le rôle de la victime. Mais personne ne l’a offensé, personne ne l’a empêché de parler. Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder l’enregistrement vidéo de la séance. Loin du « harcèlement » comme on l’a écrit de manière irresponsable. Plutôt – telle est la conclusion de la majorité – en ce qui concerne le respect des institutions, il convient de souligner au responsable du groupe PD qu’avant de participer aux travaux de la plus haute assemblée municipale, il serait opportun de recueillir des informations sur les sujets à discuter et que du groupe PD, étant donné l’importance du point à l’ordre du jour, il aurait bien fait de ne pas se présenter avec un seul conseiller sur trois”.

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