Yamal et Kroos, « l’enfant » et le « vieil homme » vont vers l’histoire

Yamal et Kroos, « l’enfant » et le « vieil homme » vont vers l’histoire
Yamal et Kroos, « l’enfant » et le « vieil homme » vont vers l’histoire

Parler d’une fin anticipée est probablement risqué. Surtout dans un tournoi comme l’Européen, où les prédictions s’avèrent généralement n’être que du papier et où les renversements sont à l’ordre du jour. Cependant, le match de vendredi prochain à Stuttgart opposera les deux équipes qui, jusqu’à présent, ont donné le sentiment d’une plus grande cohérence et solidité. Autrefois, cela s’appelait expérience. Pas aujourd’hui. Du moins pas dans le cas espagnol. Et oui, car qu’en est-il du Rouge, on ne peut pas vraiment dire que le X Factor, le secret du succès, soit l’habitude de ses champions de jouer des matchs aussi importants. Les Allemands sont certes plus expérimentés et expérimentés, mais ils sont contre Suisse que devant le Danemark, ils étaient en énorme difficulté, contrairement à l’équipe nationale espagnole qui, même lorsqu’elle s’est retrouvée menée par un but contre le Géorgie, il donnait toujours le sentiment d’avoir constamment la situation sous contrôle. Au cours des quinze dernières années, les écoles espagnole et allemande sont devenues très proches. L’aventure de Pep Guardiola sur le banc de Bayern Monaco il était également utilisé pour exporter vers Germanie la prédilection catalane pour la possession du ballon, qui non seulement ne s’est pas révélée contre-productive au gegenpressing, mais en est plutôt devenue le complément parfait, comme le démontre le Bavière pris à partir de Hansi Flick. De même, ces derniers mois, Luis De la Fuente il a modifié la composition de son équipe nationale, en abandonnant en partie la possession car il s’est rendu compte que son équipe aurait été plus dangereuse si elle avait eu une bonne dose de verticalité.

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Et donc la différence la plus évidente entre les deux principaux candidats au titre de champion d’Europe cela n’a pas grand-chose à voir, malgré les différentes nuances tactiques, avec le tableau noir et beaucoup avec la carte d’identité des interprètes à qui les deux entraîneurs ont confié le sort de leur équipe nationale. Au Espagne des très jeunes Lamine Yamal (16 ans) e Nico Williams (21) sera en fait opposé à Germanie De Tony Kroos (34 ans) et capitaine Ilkay Gündogan (33 ans) qui, à vrai dire, ne sont même pas les plus âgés de leur équipe compte tenu des 38 ans de Manuel Neuer. D’une part, le pari de De la source (qui a bien appelé 9 de moins de 25 ans) sur l’inspiration d’un impertinent de seize ans qui n’a disputé que 12 matches en équipe nationale et qui pourtant, comme il le fait avec le Barça, bat tous les records de précocité du football européen. D’autre part, la conscience de Nagelsmann qui a compris ça, pour valoriser les qualités de son crack de vingt et un ans (Jamal Musiala), il avait désespérément besoin de ça Kroos a repris les rênes du Équipe. Tâche que le réalisateur allemand (l’un des onze de plus de 30 ans du Germanie) – qui l’année dernière a annoncé ses adieux à l’équipe nationale et il y a quelques semaines celui de Real Madrid – il a accepté volontiers, revenant sur ses pas pour concourir et remporter le Championnat d’Europe à domicile, le seul titre important qui manque à sa splendide collection (34). Son principal problème est que Lamine – quelqu’un qui n’a remporté qu’un seul trophée (le Ligue l’année dernière avec le (Barça) – a bien l’intention de le mettre en retraite anticipée dès vendredi prochain.

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