![Mort d’Angelo Onorato, les dernières découvertes confirment le suicide mais la raison n’est toujours pas claire – BlogSicilia](https://fr.italy24.press/temp/resized/medium_2024-07-02-95fa7134b3.jpg)
Les dernières enquêtes de la police scientifique confirment également que l’architecte Angelo Onorato, époux de la députée européenne Francesca Donato, s’est suicidé, mais la raison reste floue. C’est ce qu’écrit La Repubblica à propos des dernières hypothèses sur la mort de l’entrepreneur.
Aucune trace d’ADN
Cependant, il est certain que sur le câble électrique trouvé autour du cou du professionnel, il n’y a aucune trace biologique de personnes étrangères, mais seulement l’ADN de l’homme et de ceux qui lui ont prodigué les premiers soins en cet après-midi dramatique du 25 mai, le long du vieux Route de contournement . C’est un autre élément qui accrédite la piste du suicide, déjà étayée par l’autopsie réalisée à l’Institut de Médecine Légale de la Polyclinique : Angelo Onorato est mort par suffocation et il n’a même pas essayé d’enlever le bandeau. Il n’a mentionné aucune réaction.
Aucune agression
Le médecin légiste Tommaso D’Anna n’a même pas trouvé de traces d’attaque ou de coup de poing. Aucune trace d’une éventuelle tentative de se libérer de l’emprise d’un meurtrier. Seul le signe dramatique du tour de cou. Et maintenant, après les derniers tests, on peut dire que c’est Angelo Onorato lui-même qui aurait serré cette bande autour de son cou.
Les raisons encore obscures
Mais pour quelle raison ? Les enquêteurs de la section Homicide de la brigade volante passent au crible les copies du smartphone et de la tablette extraites par la police judiciaire. Il s’agit d’une grande quantité de données, dont une grande partie avait été supprimée, et récupérée grâce à des techniques d’analyse sophistiquées. Les enquêteurs recherchent des traces de mal-être, de chantage, de quelque chose qui pourrait justifier le geste extrême d’un homme qui a choisi de ne confier sa douleur à personne, à sa famille ou à ses amis les plus proches. Peut-être, pour les protéger d’une menace, du chantage ? Pour l’instant, rien n’est ressorti, la police continue d’examiner les données récupérées.