Lucio Prestale super manager de la télévision, parle de sa rupture avec Amédée: «La triste fin, c’est que Giulio Andreotti avait raison. La gratitude est le sentiment de la veille et le syndrome rancunier du bénéficiaire est un syndrome attribuable à notre époque et aussi aux gens formidables. Ainsi dans un long entretien au journal il retrace les étapes de la relation avec l’animateur. «Le premier Festival de Sanremo réalisé ensemble a été un chef-d’œuvre de complicité. Amadeus ne savait même pas par où commencer à formuler un règlement et ce qui en découlait” et avec lui et sa famille “J’ai passé quelques jours à La Corogne, en Espagne, pour rédiger l’intégralité du règlement qu’il a ensuite apporté à la Rai comme son travailler”, dit-il Prêter, expliquant qu’ensemble ils ont également construit « l’équipe de scénaristes, la mise en scène, les scénographes, le directeur de la photographie, le chorégraphe », et ont fait le choix des co-animateurs : « Il a rencontré certains d’entre eux pour la première fois directement lors les séances photo de We will be.” Quant à la partie musicale, « dès le premier jour, nous avons eu des rencontres avec la discographie ensemble ».
«Amadeus m’a largué et ne m’a pas payé. Dans l’affaire Travolta, il était au courant de l’accord. Il a demandé une exclusivité pour sa femme”