Décret d’allègement fiscal dln 39 2024, précisions de l’Agence des Recettes — idealista/news

Décret d’allègement fiscal dln 39 2024, précisions de l’Agence des Recettes — idealista/news
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Avec la publication au Journal Officiel, le décret d’allègement fiscal dln 39 2024 (ou décret superbonus 2024) est entré en vigueur. La disposition intervient sur le superbonus en prévoyant, entre autres, le suppression des options de virement et de remise sur facture et leélimination de la rémission à bonis. Pour clarifier, l’Agence des revenus a examiné la disposition en apportant des éclaircissements utiles. Voyons ce qui est précisé notamment sur ces deux points.

Décret super bonus 2024

Lors de l’examen du décret législatif no. 39/2024 publié au Journal Officiel, l’Agence des Revenus a précisé que le décret prévoit, entre autres, dans les articles :

  1. les modifications de la réglementation concernant les possibilités d’attribution de crédits ou de remises sur facture ;
  2. des modifications à la réglementation concernant la remise au statut d’interprète ;
  3. dispositions relatives à la transmission des données relatives aux dépenses fiscalement avantageuses ;
  4. dispositions relatives à l’utilisabilité des crédits issus des primes à la construction et à la compensation des crédits d’impôt.

Article 1 – Modifications de la réglementation concernant les options d’attribution de crédits ou de remises sur facture

En détail, l’article 1, paragraphe 1, lettre a), prévoit le suppression des options de remise sur facture ou de virement en remplacement des déductions, pour les travaux réalisés après l’entrée en vigueur des nouvelles règles par l’IACP, par les coopératives d’habitation en indivision et par les organismes du tiers secteur, c’est-à-dire sujets restants éligibles aux avantages des concessions prévu par la réglementation précédente (article 2, paragraphe 3-bis, première phrase, du décret législatif n° 11/2023).

Au paragraphe 1, lettre b), il est précisé que « cette suppression ne s’applique pas aux interventions réalisées sur des propriétés endommagées par des événements sismiques survenus le 6 avril 2009 et celles survenues à partir du 24 août 2016 dans les communes des territoires de les régions des Abruzzes, du Latium, des Marches et de l’Ombrie. Le bénéfice, dans ce cas, est maintenu jusqu’à épuisement des fonds disponibles de 400 millions d’euros pour l’année 2024, dont 70 millions pour les événements sismiques survenus le 6 avril 2009″.

Là encore, l’article 1, paragraphe 2, prévoit en tout cas une régime transitoire qui permet l’application des dispositions plus favorables antérieurement en vigueur, établies à l’article 2, alinéas 3-bis et 3-quater, du décret législatif no. 11/2023, dans le cas de dépenses engagées en relation avec des interventions pour lesquelles, à la date précédant l’entrée en vigueur du décret en question : l’avis sur l’honneur de commencement des travaux a été présenté (Cila), dans le cas de travaux pour l’efficacité énergétique, prime sismique, photovoltaïque, réalisés non par les copropriétés ; la résolution de l’assemblée qui a approuvé l’exécution des travaux est adoptée et Cila elle-même est présentée, dans le cas de travaux d’efficacité énergétique, prime sismique, photovoltaïque, réalisés par des copropriétés ; la demande d’acquisition de la qualification a été déposée, dans le cas de travaux d’efficacité énergétique, prime sismique, photovoltaïque, dans le cas de démolition et reconstruction de bâtiments ; la demande de qualification est introduite, le cas échéant, si les interventions ne concernent pas l’efficacité énergétique, le bonus sismique, le photovoltaïque ; les travaux ont déjà commencé ou, dans le cas où les travaux n’ont pas encore commencé, un accord contraignant a été stipulé entre les parties pour la fourniture des biens et services couverts par les travaux et un acompte a été versé sur le prix, si les interventions ne concernent pas l’efficacité énergétique, le bonus sismique, le photovoltaïque et pour lesquelles la présentation d’un diplôme n’est pas requise.

Poursuivant, l’article 1, paragraphe 3, prévoit que le exception du paragraphe 2 s’applique également aux dépenses engagées pour des interventions effectuées dans les communes des territoires touchés par des événements sismiques survenus à partir du 1er avril 2009 où l’état d’urgence a été déclaré, pour les dépenses engagées au plus tard le 31 décembre 2025, à hauteur de 110 % , ainsi que pour les propriétés endommagées par des événements météorologiques survenus à partir du 15 septembre 2022, pour lesquelles l’état d’urgence a été déclaré par les résolutions du Conseil des ministres du 16 septembre 2022 et du 19 octobre 2022, situées sur les territoires des Marches région pour laquelle, au plus tard le 30 mars 2024, la documentation visée à l’alinéa 2 précédent ou une demande d’acquisition du diplôme a été déposée.

Le paragraphe 4 précise que les dispositions de l’article 2, paragraphe 1-bis, deuxième phrase, du décret législatif n. 11/2023, relatif à interventions pour surmonter et éliminer les barrières architecturales, s’applique aux dépenses engagées jusqu’au 30 mars 2024, précisant que les mêmes dispositions continuent de s’appliquer aux dépenses engagées après cette date limitées aux interventions pour lesquelles à la date précédant l’entrée en vigueur du décret législatif : la demande de qualification, si nécessaire ; les travaux ont déjà commencé ou, dans le cas où les travaux n’ont pas encore commencé, un accord contraignant a déjà été stipulé entre les parties pour la fourniture des biens et services couverts par les travaux et un acompte a été versé sur le prix, si pour les interventions ne nécessitent pas la présentation d’un diplôme.

Enfin, au paragraphe 5, il est prévu que, en ce qui concerne les interventions pour lesquelles, au 30 mars 2024, aucune dépense n’a été engagée, justifiée par une facture, pour des travaux déjà réalisés, l’exonération prévue ne s’applique pas dans les cas régi par l’article 2, paragraphe 2, lettres a), b) et c), du décret législatif n. 11/2023, soit : pour les interventions autres que celles réalisées par les copropriétés, le Cila est présenté ; pour les interventions réalisées par les copropriétés, la résolution de l’assemblée approuvant l’exécution des travaux a été adoptée et le Cila a été présenté ; pour les interventions impliquant la démolition et la reconstruction de bâtiments, la demande d’acquisition du diplôme a été déposée.
Aucune exemption n’est non plus accordée pour les cas prévus par le même article 2, paragraphe 3, lettres a) et b), du décret législatif n° 11/2023, c’est-à-dire pour des interventions autres que celles visées à l’article 119 du décret législatif susmentionné. Non. 34/2020, pour lequel à une date antérieure à l’entrée en vigueur du décret législatif no. 39/2024 : la demande de qualification a été déposée, le cas échéant ; pour les interventions pour lesquelles la présentation d’un diplôme n’est pas requise.

Article 2 – Modifications de la réglementation relative à la remise au statut d’interprète

En ce qui concerne les modifications apportées à la réglementation relative à la remise in bonis, l’article 2, paragraphe 1, à l’exclusion de l’application de l’institution de la remise in bonis, qui jusqu’au 15 octobre 2024 aurait permis, moyennant le paiement d’une astreinte minime, la communication à l’Agence des revenus du recours aux avantages fiscaux, le problème de l’acquisition des données, avant la date limite prévue du 4 avril 2024, est résolu le le montant global des options levées et des transferts stipulés, et donc, sur la moindre recette du budget de l’Etat. Comme expliqué, le retard dans cette information n’aurait pas permis une gestion correcte des finances publiques, retardant les estimations et les évaluations de l’efficacité des estimations elles-mêmes.

Encore une fois, l’article 2, au paragraphe 2, établit enfin que, dans le même but prévu au paragraphe 1, le remplacement des communications pour l’exercice des options susmentionnées, relatives aux dépenses engagées au cours de l’année 2023 et aux transferts du reste les acomptes non utilisés des déductions relatives aux dépenses engagées au cours des années 2020 à 2022, envoyés du 1er au 4 avril 2024, sont autorisés jusqu’au 4 avril 2024.

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