“Les meubles italiens à l’étranger valent 15 milliards” — idéalista/news

“Les meubles italiens à l’étranger valent 15 milliards” — idéalista/news
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En vue de première Journée Nationale du Made in Italyqui tombe à la veille de l’inauguration du 62ème édition du Salone del Mobile à Milan, FederlegnoArredo parle de la contribution du secteur du meuble aux exportations nationales. Des exportations qui en 2023 étaient en baisse, mais qui restaient tout de même au-dessus des niveaux d’avant Covid. « Nous sommes fiers de représenter l’une des chaînes d’approvisionnement stratégiques pour le PIB national : le style, la recherche, l’innovation et l’artisanat « industriel » nous permettent d’être un secteur dont le macrosystème de l’ameublement vaut environ 28 milliards d’euros et exporte jusqu’à 53 % de sa production. pour ses produits d’ameublement, nous parlons de 15 milliards destinés à l’étranger avec une balance commerciale de 9,8 milliards d’euros” déclare le président de Federlegno Claudio Feltrin.

“L’excellence de la créativité italienne, l’ingéniosité, l’Italie qui crée : tels sont les mots clés choisis pour la première journée du Made in Italy dont, en tant que chaîne d’approvisionnement de meubles en bois et de design, nous avons toujours été les ambassadeurs dans le monde – a souligné Feltrin – Nous saluons donc avec enthousiasme et participation, cette initiative fortement souhaitée par le Ministre Urso qui précède l’ouverture de la 62ème édition du Salone del Mobile.Milano”.

Le salariés actifs dans le secteur du meuble dépasser 141 000 pour un total d’un peu plus de 21 000 entreprises. « Des chiffres importants pour un secteur – ajoute le Président Feltrin – qui a précisément son point fort dans les exportations, comme le démontre également l’afflux d’acheteurs et de professionnels étrangers, plus de 60% en 2023, qui arrivent à Milan pour visiter le Salone, le plus important salon du design au monde”.

Exportations du macrosystème du meuble ils valent environ 15 milliards d’euros en 2023

Selon les bilans définitifs 2023, établis par le Centre d’études FederlegnoArredo, exportations du macrosystème du meuble ils valent environ 15 milliards d’euros en 2023 (53% du total) et subissent une réduction par rapport à l’année précédente de 3,8%, tout en se confirmant à des niveaux supérieurs à ceux de 2019 qui valaient un peu plus de 12 milliards d’euros. La tendance des marchés américain, allemand et chinois entraîne une baisse des exportations. Ceci au sein d’une chaîne d’approvisionnement en meubles en bois, dont les exportations en 2023 s’élevaient à 20 milliards d’euros, avec une baisse de 4,6% par rapport à 2022, mais toujours environ 2,8 milliards d’euros au-dessus des niveaux de 2019.

Le premier marché est la France

En regardant les zones géographiques du segment du meuble, le premier marché se confirme comme le France (plus de 2,4 milliards d’euros, soit 16,5% des exportations totales), avec une valeur en ligne avec 2022 (+0,2%). Ils suivent États-Unis avec 1,7 milliard (11,7% du total) et une baisse de 8% par rapport à 2022, troisième Allemagne avec 1,3 milliard et un -5,4%. En quatrième position, le Royaume-Uni à -6,4%, cinquième place Suisse à -3%, tandis que le Espagne à la sixième place, il est stable. Là Chine se confirme à la septième place avec une baisse significative de 17%. Signe positif pour le Emirats Arabes Unis qui se retrouve en neuvième position avec un +5,4% (329 millions d’euros). À la dixième place, je Pays-Bas avec un -9,2%.

Dans l’ensemble chaîne d’approvisionnement en meubles en bois Le la valeur exportée en 2023 s’élève à 20 milliards d’euros

Élargir notre regard verstoute la chaîne d’approvisionnement des meubles en boisLe la valeur exportée en 2023 s’élève à 20 milliards d’euros, enregistrant une baisse de 4,6% par rapport à 2022, mais toujours supérieure d’environ 2,8 milliards d’euros aux niveaux de 2019. Les 10 premières destinations représentent 63% des exportations totales et sont toutes en baisse, à l’exception de l’Espagne et de l’Autriche stables, avec une baisse globale de près d’un milliard d’euros. Encore une fois à la première place France (16,3% du total) avec 3,2 milliards d’euros sensiblement stables par rapport à ’22, suivi par États-Unis (10,7% du total) avec 2,1 milliards d’euros et un -10,5% ; troisième la Allemagne (10,7% du total) avec 2,1 milliards d’euros et un -7%. Quatrièmement le Royaume-Uni à -6,6%, suivi de Suisse à -4,2%. L’Espagne se distingue par un signe positif de +1,3% devant la Chine qui baisse effectivement de 16,8%. L’Autriche quasi stable, devant la Belgique en neuvième position (-6,1)%, les Pays-Bas clôturent le top dix avec 442 millions et -8,4%.

Parmi les principaux marchés, celui le plus pénalisé en 2023au-delà des États-Unis et de l’Allemagne, est sans doute le Chine qui perd 115 millions d’euros, enregistrant une performance bien pire que les pays européens, démontrant comment au fil des années le marché chinois a connu une expansion significative, qui s’est ensuite arrêtée avec Covid et à partir de ce moment il n’a pas pu reprendre le rythme, comme s’est produit sur d’autres marchés. Au-delà des frontières européennes, la performance est en croissance pour l’Egypte (35ème position) avec une chaîne d’approvisionnement à +21,2% sur ’22 et une valeur de 106 millions et pour l’Inde qui vaut 135 millions (29ème position) et enregistre un + 15,7%. Malgré sa valeur relativement faible, l’Inde est un pays auquel il convient de prêter attention car son potentiel est encore très difficile à saisir ; les Émirats arabes unis occupent la 12e place avec un +3,9% (388 millions d’euros).

Un autre phénomène qui résulte des données d’exportation de la chaîne d’approvisionnement concerne la Russie, ou plutôt ces Russes qui, en raison de la guerre et ayant des possibilités économiques, ont décidé de s’installer dans d’autres pays, comme le suggèrent les chiffres en Géorgie (+54,2%), au Kirghizistan (+263,3%) et au Kazakhstan ( +71,3%) . Les mouvements du sont également intéressants Continent africain (588 millions d’euros, +5,1%) et notamment des pays de la zone nord qui ont progressé de 10,7% pour une valeur totale de 349 millions d’euros. Des marchés sans doute dynamiques caractérisés par un « dynamisme ponctuel », qui ne suit guère une tendance uniforme et constante dans le temps, dissuadant donc les investissements à long terme dans ces domaines. L’Arabie Saoudite arrive en 16ème position, enregistrant +2,1% et atteignant une valeur de 247 millions d’euros, presque exclusivement pour le mobilier. Comme les États-Unis, le Canada connaît également un moment d’impasse avec -11,6% qui le place en 14e position.

Pour quelle préoccupation macrosystème du bois, les exportations (hors commerce du bois) s’élèvent à 5 milliards d’euros et subissent une contraction de 7,2%. Les dix premières destinations affichent des tendances négatives, à l’exception de l’Espagne qui croît de 3% (225 millions d’euros) et de l’Autriche stable à +0,1% (172 millions d’euros). La France dépasse l’Allemagne (785 millions d’euros et -9,3%) et devient le premier marché avec 805 millions d’euros, malgré une contraction de 1,3%. Troisièmement, le Royaume-Uni (579 millions d’euros) à -6,9% devant les États-Unis (411 millions d’euros) qui ont enregistré la baisse la plus importante du top 10 (-19,7%) mais ont maintenu leur position, tandis que la Chine (-16% ) quitte le top dix et chute à la 11ème place.

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