Giulia Salemi et son podcast “Je ne fais pas ça pour la mode”

Giulia Salemi et son podcast “Je ne fais pas ça pour la mode”
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«C’est une conversation d’une heure. Intime, vrai et sincère, avec une personne spéciale” dit le présentateur


Giulia Salemi, Podcast Je ne fais pas ça pour la mode, 2024

Giorgia Belfiore
30 avril 2024 à 08:04

Nous avons tous quelque chose qui nous fait nous sentir mal, qui nous empêche de dormir la nuit. Nous avons tous vécu des difficultés. Je veux en parler. J’ai envie de parler des moments sombres à travers mes invités, car je pense que cela peut donner à ceux qui nous écoutent la force de réagir.” Ainsi l’influenceur et présentateur Giulia Salemi raconte, de manière simple et concise, son premier podcast “Je ne fais pas ça pour la mode”disponible sur toutes les plateformes de streaming et YouTube.

Giulia, parle-nous de ton nouveau projet.
«C’est une conversation d’une heure. Intime, vrai et sincère, avec une personne spéciale. Je ne suis pas le protagoniste. Cette fois, je suis l’hôtesse.”

Comment est-il né ?
« Cela faisait deux ans que je voulais le faire, mais je n’avais pas la bonne idée ni le temps nécessaire. J’étais occupé avec d’autres emplois. Puis finalement les étoiles se sont alignées. J’ai décidé de parler du malaise générationnel et d’aborder avec légèreté des sujets importants pour contrer la superficialité et la fiction présentes dans le monde d’aujourd’hui. »

Dans le podcast, vous demandez à tout le monde : « Dans quelle mesure êtes-vous mal à l’aise ? ». Laissons-nous la question.
«Je suis confus. Je ne suis plus une jeune fille de 20 ans, mais une femme de 31 ans. J’ai l’impression d’être dans une phase de transition, entre la période de l’inconscience et celle de la responsabilité. Je suis vraiment en chute libre : les choses que j’aimais autrefois, je n’aime plus.”

Que cherches-tu maintenant ?
“Je veux la vérité.

J’en ai marre du mensonge et de la superficialité, des choses éphémères. Avant, ma quête était une quête d’acceptation. C’est assez. Je ne veux plus laisser personne me faire sentir bien ou mal. Le podcast en est la preuve.”

Comment allez-vous après cette nouvelle expérience ?
«Je me sens extrêmement riche. Chaque invité m’a appris quelque chose.”

Quel épisode vous a le plus marqué ?
«Je suis sincère: celui avec Alfonso Signorini, un ami qui s’est ouvert et s’est confié généreusement. L’Esthéticienne Cinica m’a aussi laissé une marque (l’entrepreneur Cristina Fogazzi, fondatrice de la marque de cosmétiques VeraLab, ndlr), qui a fait avec moi une analyse très sincère et claire des réseaux sociaux.”

« Je ne le fais pas pour la mode », quelques jours seulement après sa sortie le 12 avril, est entré dans le classement des podcasts de Spotify Italie. Quelle a été votre première réaction ?
“J’étais choqué! J’y ai mis beaucoup de passion. J’avoue que chaque jour je vérifie comment ça se passe et je suis surpris à chaque fois.

Aujourd’hui, la télévision n’offre pas beaucoup d’opportunités. Le podcast, en revanche, est un excellent moyen de se former et de s’impliquer.”

Qu’espérez-vous pour votre avenir ?
«Maintenant, je veux absolument profiter du présent. Mon objectif est désormais de faire grandir ce projet, de l’améliorer, de créer des épisodes thématiques et d’avoir de plus en plus d’invités. Je m’en soucie beaucoup. Le podcast nous donne l’opportunité d’exposer nos âmes, et je veux continuer à le faire.”

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