comment ils en parlent sur les réseaux sociaux

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Sur les réseaux sociaux, les jeunes Italiens commencent à s’intéresser de plus en plus à l’information et à la prévention en matière de VIH Et sida. C’est ce qui ressort d’une étude de SocialData, qu’elle a analysée le web et les conversations sociales sur le thème des 12 derniers moiset qui a été présenté à l’occasion du Gala Annuel organisé par Anlaids Lazio le jeudi 30 mai à la Galerie Nationale d’Art Moderne.

L’enquête SocialData a deux objectifs : d’une part, mesurer et décrire les conversations en ligne sur ces sujets avec la plus grande précision possible ; de l’autre, pour les encourager à leur tour, en montrant les sujets les plus actifs, les moments et les thèmes les plus engageants, ainsi que les moyens les plus répandus et efficaces pour informer et rester informés.

Dans quelle mesure parle-t-on du VIH et du SIDA en Italie ? Qui sont les protagonistes des conversations sur le sujet ?

L’Italie est en effet le deuxième pays de l’Union européenne où l’on parle le plus du VIH et du sida, juste derrière la France et devant l’Allemagne et l’Espagne. Malgré ce bon positionnement, au cours des 12 derniers mois, le nombre de conversations mentionnant le VIH et le SIDA dans notre pays (35 000) a diminué de 30 % par rapport à l’année précédente.

On parle moins du SIDA que de tous les autres sujets les plus populaires au cours de l’année écoulée : moins que d’autres maladies comme le cancer (1 million de conversations) et le Covid (670 000 conversations), moins que d’autres problèmes urgents comme les guerres (1 million) et changement climatique (217 mille), bien moins que la politique (le Président Melons est mentionné dans 2 millions de conversations) ou des sujets de divertissement tels que Championnat (1,25 million), San Remo (513 mille) ou Ferragni (317 mille), encore moins que des thèmes improvisés et technologiques comme ChatGPT (47 mille).
L’attention portée au sujet est discontinue et se concentre principalement sur quelques moments significatifs, parmi lesquels se distinguent la Journée mondiale de lutte contre le sida et la campagne sur les thérapies antirétrovirales « Vous ne pouvez pas vous tromper », mais aussi la propagation virale. d’une vidéo dans laquelle des policiers immobilisent un transsexuel avec des matraques et des sprays, accusé plus tard d’avoir menacé de contaminer les personnes présentes avec le VIH.

On parle surtout du sida dans les grandes métropoles, notamment à Rome (33%), Milan (15%) et Turin (6%), tandis que les discussions sont moins fréquentes en province, notamment dans celles du centre-sud. Parmi les canaux les plus utilisés pour parler du VIH et du SIDA, Facebook conserve la première position, hébergeant 47 % des conversations, suivi par les actualités (23 %), les blogs (14 %), Twitter (qui enregistre une baisse spectaculaire de 25 % l’année dernière à 6 % actuellement) et Instagram (qui gagne 2 % par rapport à l’année dernière). année et est à égalité avec Twitter). Cependant, si l’on examine les données sur l’engagement, les canaux qui génèrent le plus de réponses de la part du public sont TIC Tac Et Instagramqui représentent ensemble 92 % des interactions sur les réseaux sociaux.

La plupart des gens qui parlent du VIH et du SIDA sont les sites d’information et le monde associatif. Cependant, ceux qui parviennent à impliquer le plus grand nombre d’utilisateurs sont les magazines sur Instagram créés pour la génération Z et les influenceurs de toutes sortes sur TikTok, y compris les médecins avec plus d’un million de followers.

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Comment parle-t-on du VIH et du SIDA en Italie ? Quels sont les thèmes et émotions récurrents ?

Le sentiment en amélioration par rapport à l’année précédente. Les posts aux tonalités négatives passent de 54% à 46%, se rapprochant des posts positifs (42%). Parmi les émotions, la peur règne toujours (28%), mais l’admiration (25%) pour les personnes impliquées dans la lutte contre le VIH et la confiance (22%) dans les possibilités de prise en charge et de traitement du VIH prennent également le dessus.

Les thèmes qui reviennent le plus souvent sont la coexistence avec le virus dans les différents domaines de la vie quotidienne, les stratégies de prévention et de traitement de l’infection, l’engagement de la communauté et le rôle de l’information. Des phénomènes viraux liés aux épisodes d’actualité émergent également faux nouvelles. Parmi ces dernières, les plus répandues sont celles qui associent le VIH et le sida aux vaccins contre le Covid-19. Selon les différentes versions qui circulent en ligne, les vaccins provoqueraient une « nouvelle forme de SIDA », contiendraient des « souches de VIH » ou « l’ADN d’un singe infecté », et augmenteraient les cas de tests positifs provoquant un « syndrome de vaccin contre l’immunodéficience acquise”.

Un fait plus rassurant est la forte croissance, ces derniers mois, de l’intérêt et de la sensibilisation à la prophylaxie pré-exposition (PrEP), grâce surtout à la campagne d’information « La Mesure de la Tranquillité ». Tout aussi positif est le fait que, si en moyenne dans les discussions sur le VIH et le SIDA les femmes représentent 48% des intervenants contre 52% des hommes, sur le thème de la PrEP la situation est inversée : les femmes représentent 53% des auteurs des posts. , tandis que les hommes 47%, signe de l’intention du public féminin d’accéder à cette nouvelle arme importante dans la lutte contre les infections.

Luca Ferlaino, 1er juin 2024

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