Était un année intense Pour la famille royale britanniqueencore plus pour le Prince William qui s’est retrouvé aux prises avec double diagnostic de cancer: d’un côté, celui de son épouse Kate Middleton et de l’autre, celui de son père le roi Charles. Une situation qui n’est certainement pas facile à métaboliser et à gérer, surtout avec le travail acharné à gérer et avec trois petits à protéger. À cet égard, l’historien royal Gareth Russell a déclaré à Us Weekly que “peut-être qu’il n’était pas préparé émotionnellement”.
La princesse Eugénie ne figure plus sur la « liste noire royale ». La publication sur Instagram et la fin de l’amitié avec Harry et Meghan, que s’est-il passé
Le choc de William
Comme le rapporte Gareth Russell : «Jusqu’à présent, William s’est montré plus que compétent et capable, mais il n’était certainement pas préparé à cela. Charles est certes âgé, mais son père était notoirement en assez bonne santé, il vit bien, mange bien et, selon son épouse, la reine Camilla, ne s’arrête jamais de marcher.” Le prince, premier sur le trône, a toujours démontré sa capacité à diriger la famille royale, mais personne n’aurait certainement pu prédire qu’il devrait remplacer le roi Charles III dans nombre de ses engagements officiels.
La situation est donc délicate, même si Kate Middleton va bien, comme William lui-même l’a déclaré. Le Prince avait en effet fait un point positif sur l’état de santé de son épouse il y a quelques semaines. Bien que Kate n’exerce plus de fonctions royales depuis le jour de Noël 2023, la date de son retour reste ambiguë, certains spéculant qu’elle pourrait être dès l’année prochaine.
Dans les coulisses de l’incroyable ascension de Kate Middleton
“Catherine, princesse de Galles”, un livre écrit par le journaliste royal Robert Jobson, arrive bientôt. La biographie-révélation tant attendue de l’épouse de l’héritier du trône britannique William, la future reine qui lutte contre la maladie qui l’a frappée, sortira le 1er août 2024 chez Rizzoli, dans la traduction de Caterina Chiappa et Manuela. Senza Peluso, en même temps que l’édition originale anglaise. S’appuyant sur des sources officielles et officieuses, très proche de la princesse et bien intégré à la maison royale, Jobson retrace l’histoire d’une jeune fille de classe moyenne qui rencontre à l’université un jeune prince destiné au trône et tombe amoureuse de lui.
«Derrière ce sourire public étincelant se cache une femme volontaire, dotée d’une intelligence vive et d’une détermination tenace. Un jour, cette jeune fille de la classe moyenne du Berkshire sera l’épouse du roi Guillaume V, devenant peut-être la première vraie reine du peuple, par le peuple. Si elle était née cinquante ans plus tôt, sa parabole aurait été impensable, pure matière de conte de fées”, dit Robert Jobson.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
Lire l’article complet sur
Le Messager
