Urso, mesure pour faire extérieur structurel. Codacons : « viol des centres historiques » – Entreprises

Urso, mesure pour faire extérieur structurel. Codacons : « viol des centres historiques » – Entreprises
Urso, mesure pour faire extérieur structurel. Codacons : « viol des centres historiques » – Entreprises

“Nous développons, au sein du projet de loi sur la concurrence, une disposition pour rendre structurelles les tables et terrasses extérieures, pour qu’elles soient aussi un élément de décoration urbaine”. Le ministre du Commerce, A. le ditDolfo Ursoen marge de l’événement Fipe à la Chambre’Journée restauration‘.

« Nous discutons de cette disposition – ajoute-t-il – avec les associations du secteur et évidemment aussi avec l’Anci, et donc avec les municipalités. Nous pensons que cela pourrait être une opportunité pour rendre la restauration encore plus fonctionnelle à la socialité et à ce décorum urbain qu’elle ne l’était auparavant. les centres historiens doivent s’affirmer de plus en plus”.

“Je pense que la journée de la restauration est significative et importante pour mettre en valeur ce qui est positif dans le secteur de la restauration italienne, qui est également le moteur du tourisme et de la chaîne d’approvisionnement d’excellence du Made in Italy, à commencer évidemment par l’alimentation”, observe Urso.

« Nous pensons – déclare-t-il – que c’est aussi pour cela qu’il est nécessaire de valoriser toujours plus le rôle de la restauration.
En outre, nous avons réalisé une initiative importante, celle de « Ajouter une place à table » dédiée aux mineurs afin que les familles puissent apprécier toujours plus « la « valeur sociale » de la restauration italienne. L’initiative est en cours et voit « au-delà de 3 mille participants les établissements de restauration, “est un exemple du système italien, de cette socialité, de cette solidarité et de cette valeur communautaire”.

“Dans le Projet de Loi sur la Concurrence, nous pensons à une règle qui va dans le sens de rendre structurelle la législation sur les tables extérieures, de manière à combiner l’utilisation des espaces commerciaux avec celle des espaces culturels et résidentiels”. Le ministre de l’Entreprise et du Made in Italy, Adolfo Urso, l’a écrit sur le réseau social “Sur ce point – écrit le ministre”, nous travaillons avec l’ANCI et les surintendances, pour que la règle soit le résultat d’un partage avec toutes les parties impliquées”.

Codacons, les terrasses gratuites sont un viol des centres historiques

“Un viol au détriment des centres et des villes historiques et un immense cadeau aux bars et restaurants aux dépens des citoyens.” Alors le Codacons rejette sans équivoque la mesure annoncée par le ministre de l’Entreprise, Adolfo Urso, visant à structurer les espaces extérieurs dans toute l’Italie.

“Bien que les conditions d’urgence Covid qui avaient permis aux bars et restaurants d’occuper le terrain public avec une invasion sauvage des estrades et des tables n’existent plus, le gouvernement veut prendre une mesure qui n’a provoqué que chaos et dégradation structurelle – dit le président Carlo Rienzi – Les déhors, parasols, plates-formes, tables et chaises installés dans les rues et sur les places causent d’énormes dégâts aux citoyens, qui sont privés d’espaces publics et obligés de marcher en slalomant entre les structures placées par les bars et les restaurants. Cela endommage également le décorum urbain et le tourisme, ruinant l’image de nos villes aux yeux des visiteurs étrangers. Sans parler des constructions illégales et de l’absence de contrôles, qui conduisent souvent à une occupation de l’espace public supérieure à celle autorisée par la réglementation locale.

“C’est pour cela que nous sommes prêts à ériger des barricades pour contrer toute mesure gouvernementale qui libéralise les espaces extérieurs et porte atteinte au décorum urbain et aux citoyens”, conclut Rienzi.

Stoppani (Fipe), « dehors combattre la dégradation »

A l’extérieur “il est clair que nous sommes favorables” aux projets pour les rendre structurels “car nous traitons d’un sujet très délicat où très souvent l’imagination des administrations municipales est impliquée”. C’est ce qu’a déclaré le président de Fipe-Confcommercio, Lino Enrico Stoppani, citant par exemple les ordonnances restrictives à Milan en marge de l’événement à la Chambre pour la Journée de la Restauration.

« Au-delà de la controverse milanaise, il y a un thème de désertification commerciale, de sorte que l’établissement public devient un formidable outil de régénération urbaine grâce également aux occupations extérieures qui assurent la sécurité, l’habitabilité, l’animation et contrecarrent la dégradation que l’on peut constater dans le zones caractérisées par une désertification commerciale”, observe Stoppani.

Le projet anticipé par le ministre de l’Entreprise et du Made in Italy, Adolfo Urso, ajoute Stoppani, “a pour objectif d’encourager ces emplois externes et de simplifier les obligations”. Pour le président de la Fipe, « la façon dont nous utilisons la ville est en train de changer ». “En vivant dans une ville comme Milan et en voyant le nombre et la fréquentation, je suis rassuré – conclut-il – parce que tant que les jeunes se trouvent dans cette voie ordonnée, propre et organisée, il y a la possibilité de contrecarrer la dégradation”.

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