tarifs du gaz et de l’électricité jusqu’à 300 euros supérieurs à ceux protégés

tarifs du gaz et de l’électricité jusqu’à 300 euros supérieurs à ceux protégés
tarifs du gaz et de l’électricité jusqu’à 300 euros supérieurs à ceux protégés

Le libre marché est un échec et les familles ne voient aucun avantage sur leurs dépenses. Il le soutient Assoutientsqui a réalisé une étude comparant les offres actuelles des opérateurs secteur de l’électricité et du gaz rationalisé les principales villes italiennes via le portail dédié Arera et Single Buyer.

Hausses du gaz et de l’électricité

Pour le gaz, dans aucune ville, les options du marché libre ne sont plus avantageuses que le régime de vulnérabilité réglementé par l’Autorité, entré en vigueur le 10 janvier après la fin du marché protégé, selon l’analyse de l’association. Même les meilleures offres disponibles sont accompagnées d’un dépenser jusqu’à 300 euros de plus par an et par famillenotamment à Catanzaro et Rome, qui sont les villes les plus touchées.

Aussi pour leénergie électriquequi verra la fin du marché protégé le 1er juillet, les dépenses annuelles sur le marché libre sont plus élevées, jusqu’à plus de 130 euros par famille. Les villes du sud, ainsi que la capitale, paient les factures de gaz les plus élevées du marché libre. En particulier, compte tenu de la meilleure offre de prix forfaitaire disponible, une famille avec une consommation moyenne de 1 400 mètres cubes par an est confrontée à une dépense supérieure à la facture moyenne du régime de vulnérabilité (aux tarifs actuels fixés par Arera), qui varie de +111 euros par an et par famille à Milan, Trieste et Trente, jusqu’à +305 euros à Catanzaro, jusqu’à +318 euros par an à Rome.

Vous trouverez ci-dessous le classement des villes italiennes basé sur les offres de fourniture de gaz sur le marché libre (offres en vigueur au 7.1.2024) :

  • Rome : 2 045,57 euros
  • Catanzaro : 2 032,55 euros
  • Palerme : 2 024,03 euros
  • Naples : 1 972,44 euros
  • Florence : 1 931,25 euros
  • Turin : 1 927,99 euros
  • Gênes : 1 927,99 euros
  • Ancône : 1 913,75 euros
  • Pérouse : 1 889,82 euros
  • Aoste : 1 885,92 euros
  • Campobasso : 1 881,60 euros
  • Bari : 1 881,59 euros
  • Venise : 1 876,39 euros
  • Puissance : 1 873,76 euros
  • Bologne : 1 866,61 euros
  • L’Aquila : 1 849,09 euros
  • Trente : 1 837,18 euros
  • Bolzano : 1 837,18 euros
  • Trieste : 1 837,18 euros
  • Milan : 1 816,66 euros

Prix ​​sur la variable

La situation ne change pas si l’on considère meilleures offres à prix variables. Dans ce cas, la facture moyenne est inférieure au prix fixe, mais la dépense reste néanmoins supérieure au régime de vulnérabilité : la charge annuelle pour une famille varie d’un minimum de +19,4 euros à Trente jusqu’à un maximum de +230 euros à Trente. Rome, en passant autour de +220 euros à Catanzaro et Palerme.

Une dynamique similaire se retrouve dans marché libre de l’électricité. Selon l’analyse d’Assoutenti, la meilleure offre disponible sur le portail est la même dans toutes les villes et prévoit, pour une famille disposant de 3 kW de puissance et d’une consommation de 2 700 kWh par an, une facture moyenne de 677,92 euros pour les offres à tarif fixe. prix et 681,40 euros par an pour ceux à prix variable. Par rapport aux tarifs du marché protégé de l’électricité, la dépense annuelle sur le marché libre est donc plus élevée de +131,44 euros pour le prix fixe et de +134,92 euros pour le variable.

  • Rome : 1 754,51 euros
  • Catanzaro : 1 739,28 euros
  • Palerme : 1 723,01 euros
  • Naples : 1 679,17 euros
  • Turin : 1 645,28 euros
  • Florence : 1 641,86 euros
  • Gênes : 1 638,60 euros
  • Ancône : 1 624,35 euros
  • Pérouse : 1 607,11 euros
  • Bologne : 1 604,42 euros
  • Aoste : 1 603,20 euros
  • Campobasso : 1 597,22 euros
  • Venise : 1 593,67 euros
  • Puissance : 1 589,38 euros
  • Bari : 1 588,32 euros
  • L’Aquila : 1 564,71 euros
  • Milan : 1 554,46 euros
  • Bolzano : 1 554,46 euros
  • Trieste : 1 554,46 euros
  • Trente : 1 553,61 euros

Assoutenti : « Prolongation nécessaire pour revenir à des protections progressives »

La concurrence attendue entre opérateurs ne se voit pas – commente Furio Truzzi, président honoraire et directeur de l’énergie d’Assoutenti – et pas même l’ombre de la réduction des tarifs qu’aurait dû entraîner le nouveau marché. Tout cela dans un contexte où, à partir du 1er juillet prochain, le marché protégé de l’électricité prendra fin et les utilisateurs qui décident de passer au marché libre ou qui du marché libre ne reviennent pas au Service de Protection Graduelle subiront une augmentation significative de les coûts de l’électricité. C’est pourquoi nous réaffirmons la nécessité de prolonger le délai dans lequel les utilisateurs peuvent passer à des protections progressives, simplifier et accélérer les procédures afférentes”.

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