Victime d’un viol collectif, elle décède à l’âge de 13 ans après trois semaines d’agonie. Cette fois, l’horreur vient de Rantigny, une ville du nord de la France. Shanon, c’est le…
Déjà abonné ? Connectez-vous ici!
OFFRE SPÉCIALE
MEILLEURE OFFRE
ANNUEL
79,99 €
19 €
Pendant 1 an
CHOISISSEZ MAINTENANT
MENSUEL
6,99 €
1 € PAR MOIS
Pour 6 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
OFFRE SPÉCIALE
OFFRE SPÉCIALE
MENSUEL
6,99 €
1 € PAR MOIS
Pour 6 mois
CHOISISSEZ MAINTENANT
– ou –
Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google
S’abonner
OFFRE SPÉCIALE
Lire l’article et l’intégralité du site ilmessaggero.it
1 an pour 9,99 € 89,99 €
Abonnez-vous avec Google
ou
1 € par mois pendant 6 mois
Renouvellement automatique. Désactivez quand vous le souhaitez.
- Accès illimité aux articles du site et de l’application
- La newsletter Good Morning de 7h30
- La newsletter Ore18 pour les mises à jour du jour
- Les podcasts de nos signatures
- Informations et mises à jour en direct
Victime d’un râpé groupe, décède à 13 ans après trois semaines d’agonie. Cette fois l’horreur vient de Rantigny, une commune du nord de France. Shanon, c’est le nom de la jeune fille, a été hospitalisée le 6 mars dernier dans un état très grave et est décédée le 27 mars, après plusieurs jours de coma au cours desquels elle n’a pas pu se remettre des blessures très graves qu’elle avait subies.
Violée, Shanon décède à 13 ans
Selon les enquêteurs, les réseaux sociaux seraient une nouvelle fois à l’origine de l’épisode qui a choqué la France. La jeune femme, qui a fréquenté l’internat Simone-Veil à Cauffry (Oise), y aurait en effet rencontré ses bourreaux. Les premiers échanges jusqu’à la demande de rendez-vous. Trois jeunes âgés de 17 à 19 ans font l’objet d’une enquête pour violences en bande. L’un d’eux a été arrêté et risque jusqu’à 30 ans de prison, tandis que les complices présumés font l’objet d’une enquête générale.
L’auteur présumé du viol, un jeune homme de 19 ans, aurait en effet agi avec la complicité d’un ami de 18 ans et d’une mineure. «Le violeur présumé a été placé en détention provisoire. Ses deux co-accusés, soupçonnés d’abstention volontaire en vue d’empêcher un délit, ont été libérés, un majeur étant placé sous contrôle judiciaire et un mineur placé sous mesure provisoire d’éducation judiciaire.».
«Aucun n’a de casier judiciaire. Ils restent présumés innocents”, confirme le procureur de la République. La France est toujours sous le choc de cette tragédie.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
Lire l’article complet sur
Le Messager