Profiter du moment Kallas et de l’investissement de l’UE dans la haute représentante dans la pêche à la traîne anti-Poutine

Profiter du moment Kallas et de l’investissement de l’UE dans la haute représentante dans la pêche à la traîne anti-Poutine
Profiter du moment Kallas et de l’investissement de l’UE dans la haute représentante dans la pêche à la traîne anti-Poutine

Nous n’en croyons toujours pas nos yeux, nous l’avouons, et pour cette raison nous pensons que ce n’est qu’un rêve magnifique, un formidable éblouissement estival, une vision splendide générée par les premières chaleurs estivales, qui, quel que soit le choix final, reste l’image qui symbolise le mieux, de la manière la plus profonde possible, ce qui attend l’Europe dans les cinq prochaines années. Tous les cinq ans, vous savez, l’Europe, en fin de compte, lorsqu’il y a des positions clés à négocier, doit prétendre avoir ce qu’elle n’a pas, c’est-à-dire une politique étrangère, et doit trouver quelque chose de similaire à une marionnette politique pour tenter de prouver le contraire. Dans le passé, le rôle de marionnette, celui de haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères, était confié à des chiffres dont ce n’est pas un hasard et dont beaucoup d’entre vous auront du mal à se souvenir. Javier Solana, Catherine Ashton, Federica Mogherini, Josep Borrell. Aujourd’hui, sauf surprise que nous espérons ne pas avoir, ce rôle pourrait être confié à une autre personnalité, qui, à elle seule, incarnerait une direction claire, arrondie et forte, qui est la même direction inévitable que prendra l’Europe dans les années à venir quand il se retrouve confronté à sa bonne position dans le monde.

Nous n’en croyons toujours pas nos yeux, nous l’avouons, et pour cette raison nous pensons que ce n’est qu’un rêve magnifique, un formidable éblouissement estival, une vision splendide générée par les premières chaleurs estivales, qui, quel que soit le choix final, reste l’image qui symbolise le mieux, de la manière la plus profonde possible, ce qui attend l’Europe dans les cinq prochaines années. Tous les cinq ans, vous savez, l’Europe, en fin de compte, lorsqu’il y a des positions clés à négocier, doit prétendre avoir ce qu’elle n’a pas, c’est-à-dire une politique étrangère, et doit trouver quelque chose de similaire à une marionnette politique pour tenter de prouver le contraire. Dans le passé, le rôle de marionnette, celui de haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères, était confié à des chiffres dont ce n’est pas un hasard et dont beaucoup d’entre vous auront du mal à se souvenir. Javier Solana, Catherine Ashton, Federica Mogherini, Josep Borrell. Aujourd’hui, sauf surprise que nous espérons ne pas avoir, ce rôle pourrait être confié à une autre personnalité, qui, à elle seule, incarnerait une direction claire, arrondie et forte, qui est la même direction inévitable que prendra l’Europe dans les années à venir quand il se retrouve confronté à sa bonne position dans le monde.

Naturellement, nous parlons de Kaja Kalla, le Premier ministre estonien, ennemi juré du poutinisme, a rendu la pareille, devenu ces dernières années l’un des symboles de la lutte contre les nouveaux totalitarismes qui menacent l’Occident. Elle le devient pour des raisons familiales, car sa mère Kristi et sa grand-mère ont été déportées dans un camion à bestiaux vers la Sibérie lors des déportations soviétiques en Estonie, où elle a vécu vingt ans. Et cela est devenu le cas grâce à tout ce que votre pays a fait ces derniers mois, avec les pays baltes, pour tenter de montrer au reste de l’Occident, avec le président Zelensky, hier à Bruxelles devant le Conseil européen, la bonne voie à suivre. L’Europe . Quelques jours après l’invasion de l’Ukraine, elle fut l’un des premiers dirigeants européens à appeler les choses par leur nom, à dire que « Si Poutine n’est pas puni pour ses crimes, il passera à autre chose », de dire que si Poutine n’est pas arrêté bientôt, “il recommencera à faire ce qu’il a toujours fait, encore plus durement qu’aujourd’hui” et de rappeler que ce que l’Occident a fait ces dernières années à l’égard du régime de Poutine, ce n’est pas avoir est né à la périphérie de la Russie (citation connue) mais en ayant commis à deux reprises l’erreur de fermer les yeux sur ce que la Russie avait fait d’abord en Géorgie (2008) puis en Crimée (en 2014). L’Europe du futur, celle qui naîtra avec la nouvelle majorité, une majorité qui ressemblera beaucoup à l’ancienne avec en plus un inévitable grincement de mélonisme, devra trouver une solution sur de nombreux points délicats, comme comme la discontinuité par rapport au Green deal, comme les politiques d’immigration, comme l’évolution du marché unique, mais sur un point il n’aura pas besoin de trouver une solution, du moins espérons-le.

Parce que ce point est ce qui représente le mastic de l’Europe du présent et du futur et parce que ce point est représenté par Mme Kallas, dont la présence parmi les dirigeants de la nouvelle Europe contribuera à avoir un magnifique haut représentant de la pêche à la traîne russe et à rappelons-nous aussi aux oublieux qui dans les années à venir défendront les frontières de notre démocratie, de notre liberté et de notre Europe, il faudra agiter moins de drapeaux blancs et davantage de drapeaux aux couleurs jaune-bleu de l’Ukraine.

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