Angélus, 30 juin 2024 : Dieu étiquette-t-il les gens ? La réponse du pape est impressionnante

Angélus, 30 juin 2024 : Dieu étiquette-t-il les gens ? La réponse du pape est impressionnante
Angélus, 30 juin 2024 : Dieu étiquette-t-il les gens ? La réponse du pape est impressionnante

Le dernier dimanche de juin, nous sommes appelés à réfléchir sur notre foi. Pape François : dans quelle mesure êtes-vous prêt à faire confiance au Seigneur ?

Le miracle suit la foi, et non l’inverse. Je suis entendu parce que je crois, je ne crois pas parce que je suis entendu. Voici la vérité à croire.

Papa Francesco all’Angelus (Source Web de la photo)

Le Saint-Père amène la réflexion d’aujourd’hui sur un point crucial de notre foi. Quand sommes-nous prêts à nous faire confiance dans les difficultés ? Les figures de l’Évangile d’aujourd’hui nous apprennent beaucoup.

Dimanche ensoleillé et très chaud à Rome, ce qui ne décourage pas ceux qui ne ménagent pas les sacrifices pour écoutez la voix vivante de notre Pontife au rendez-vous de l’Angélus. Cette semaine a également été difficile sur le front de guerre en cours. Mais réellement quand l’obscurité est épaisse nous devons revenir aux racines de la foi. Et le Pape nous conduit aujourd’hui. Comme c’est arrivé aux saints Martyrs roumains qui se souviennent aujourd’hui qu’ils n’avaient pas peur de perdre la vie pour témoigner de leur foi. Nous vivons nous aussi à une époque de martyre, dans de nombreuses régions du monde les chrétiens sont persécutés et avec leur sang, ils fécondent l’Église. Inspirons-nous de leur témoignage comme de celui des personnages qui nous sont présentés dans l’Évangile d’aujourd’hui.

Deux miracles qui s’entremêlent. Jésus se rend chez l’un des chefs de la synagogue parce que sa fille est mourante et meurt avant son arrivée, et une femme qui souffre d’une hémorragie depuis longtemps touche sa natte. Deux miracles, un de résurrection et un de guérison, raconté en un seul épisode. Les deux miracles se produisent par contact physique. La femme touche le manteau de Jésus et Il touche la petite fille. Je suis due donne prévenant impur, l’une parce qu’elle est morte, l’autre perd du sang, il ne peut y avoir aucun contact physique avec elles. Jésus se laisse toucher et n’a pas peur de toucher. Avant la guérison physique cela mine une conception religieuse erronée selon lequel Dieu sépare le pur de l’impur. Jésus ne se sépare pas parce que l’impureté vient du cœur. Face à la souffrance du corps et de l’esprit, face aux blessures et au péché, Dieu ne nous tient pas à distance, il ne juge pas, il vient à notre rencontre, nous prend par la main et nous invite à relève-toi.

Jésus a subi toutes les conséquences du péché pour nous sauver. C’est une belle image Dieu te prend par la main et te relève, entre dans la douleur et guérit. Il ne discrimine personne parce qu’il aime tout le monde. Mais y croyons-nous ? Est-ce que nous aidons les autres à se lever ou à étiqueter les gens pour ce qu’ils ont fait ou en fonction de nos goûts et de nos besoins ? Nous avons besoin que l’Église et la société n’excluent ni ne traitent quiconque comme impur, sans étiquettes, sans préjugés, mais lorsque tout le monde est aimé sans réserve.

Réalisé parce que je crois

Les figures présentées dans la liturgie d’aujourd’hui sont des témoignages de foi louables devant lequel Jésus se présente comme le Dieu qui aime la vie. Jaïrus mendier la préoccupation de Jésus la femme n’exige pas l’attention à la première personne du maître désire toucher son manteau, elle est certaine que le simple contact du vêtement lui redonnera la raison. Le cœur battant des deux est la certitude qu’on leur répondra; par conséquent, le point central n’est pas la gravité du mal mais plutôt la foi dans la puissance du Seigneur.

La foi, c’est être entre les mains de Dieu (Source photo web)

Tous deux ne font pas partie du groupe des disciples de Jésus mais Leurs cœurs ne vacillent pas même un instant. Cela confirme ce que le pape François ne cesse de nous rappeler : Dieu ne joue pas aux favoris en personne, il accueille tout le monde, absolument tout le monde, il suffit que nous reconnaissions ceux qui ont besoin de lui et de son aide. C’est ainsi que cela doit être pour chacun de nous, personne ne devrait trop se sentir pour le Maître, personne ne devrait penser qu’il sera puni pour sa distance. Quelle que soit la trame de fond ce qui compte à ses yeux c’est l’humilité de ceux qui se reconnaissent faibles, qui ont besoin de guérison et qui se confient à Lui.

Car à quel point nous sommes tombés, car quand nous nous noyons dans le péché le pouvoir de guérison du Seigneur peut tout guérir, il veut seulement que nous nous abandonnions à Lui. Le Pape nous exhorte à prier le Sacré-Cœur de Jésus pour convertir le cœur de ceux qui ont des responsabilités politiques, sociales, militaires et économiques dans les pays en guerre. afin qu’ils abandonnent la destruction et la mort et lancent des projets de paix.

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