Everything is Wonder d’Ann Napolitano : la critique du livre

Lorsque Julia, Sylvie, Cécélia et Emeline jouaient lorsqu’elles étaient enfants et fantasmaient sur leur vie future, personne ne se demandait à quel point elles étaient proches, puisque chacun d’eux existait dans l’autre et il n’y avait ni espace ni temps qui les empêchaient de se retrouverse rencontrant, se touchant, comme s’ils n’avaient jamais été séparés.

Mais les quatre protagonistes ils verront leur lien mis à l’épreuve par les différentes difficultés de la vie et, lorsque les piliers de leur lien solide commenceront à céder et à s’effondrer, ils seront obligés de se demander si leurs vies sont vraiment si inextricablement liées.

Dans ce hommage au roman d’AlcottAnn Napolitano raconte l’histoire de la famille Padavano en reliant les récits de chacune des sœurs dans un chemin capable de parcourir trente ans de vie et des kilomètres de route, s’étendant de la maison avec le potager dans lequel elles poussent toutes, jusqu’à rayonne vers la vie individuelle des protagonistes à mesure qu’ils deviennent adultes.

narration choralesuivant les différents points de vue, permet de caractériser les différents personnages, les rendant bien définis et familiers dès les premières pages.

L’auteur parvient ainsi à joindre une représentation vivante de l’amouravec ses différentes formes et facettes, de la colère à la peur, en passant par le deuil et le pardon. Tout est merveilleux captive le cœur du lecteur jusqu’à la dernière page et lui laisse la conscience que leL’amour, le vrai, dépasse les frontières de la personne et de la viejusqu’à devenir immense, enveloppant et touchant tout.

PREV Coeur – En équilibre précaire entre technologie et nature
NEXT 5 livres d’architecture et de design à lire en mai 2024