Il Cittadino 125° : Mai et la roseraie de Monza, livre de Bellavite col Cittadino

Il Cittadino 125° : Mai et la roseraie de Monza, livre de Bellavite col Cittadino
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Deuxième chapitre du projet de collaboration entre le Citoyenà l’occasion de son 125ème anniversaire de fondation, Et l’éditeur Bellavite de Missaglia: après le jeu dédié au dialecte, ou plutôt aux dialectes, un souffle de printemps.

Il Cittadino 125° : Mai et la roseraie de Monza, à partir du lundi 15 avril le livre sera en vente au prix de 16 euros à la rédaction

A partir du lundi 15 avril est disponible pour achat au comptoir de la rédaction (viale Elvezia 2 à Monza) le volume «C’est le mois de mai dans la roseraie de Monza», un large répertoire non seulement de photographies de ce petit trésor trouvé à l’entrée de la Villa Royaleprotagoniste depuis de nombreuses années également du concours international de roses.

Le volume est né en 2005, mais tout comme la roseraie Niso Fumagalli, il n’a rien perdu de son parfum éditorial : il est en vente au prix spécial de 16 euros, alors qu’à la sortie c’était 35 euros.

Initiative 125 ans : Livre Bellavite On est en mai dans la roseraie de Monza avec le Citoyen

Il Cittadino 125° : Mai et la roseraie de Monza, “non pas un catalogue illustré mais une promenade photographique”

Je dois tout de suite clarifier un éventuel malentendu : ce livre de photographies qui a pour sujet la roseraie n’est absolument pas un catalogue illustré des rosiers qui y sont récoltés ni de ceux qui y sont plantés pour les concours qui s’y déroulent annuellement. Il n’a rien de systématique et est au contraire le fruit d’une improvisation. – a écrit le rédacteur en chef de la préfecture Dominique PaganoIl s’agit d’une promenade photographique réalisée en quelques jours fin mai 2004, au cours de laquelle je me suis simplement immergé dans la roseraie, en décrivant certains de ses différents aspects, du paysage à la couleur, des curiosités environnementales au détail d’une seule fleur. . Fasciné, uniquement, par les compositions, par les couleurs, par le contraste des formes, par les effets de lumière et d’ombres, par le sertissage des roses avec d’autres éléments ; tout cela doit être métabolisé en sentiments, souvenirs, visions, symbolismes».

Il Cittadino 125° : Mai et la roseraie de Monza, 224 pages d’amour pour les roses

Cette promenade vaut 224 pages de raconter des histoires à travers des mots et des images dans un volume grand format et sous couverture rigide avec jaquette: un livre utile à la fois et plus encore à l’approche le mois de mai, le mois de la plus grande séduction pour la roseraie du Palais Royalqui reviendra également pour accueillir les Musicamorfosi Nocturnes.

Un amour pour les roses – comme pour les autres matières – que je préfère rechercher à travers l’appareil photo – disait encore Pagano – lorsque l’objectif et mon âme fusionnent pour fixer une image, la plus expressive possible de ce qui se reflète en moi».

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