Breaking news
Loi et ordre (1969) Frederick Wiseman – Critique -

Xavon – Livres – Il Progresso Magazine

« Xavon. Le garçon non vacciné. Distorted Existence », l’œuvre de dénonciation d’Alan Paccagnella.

«Ceux qui sont sur le point d’être feuilletés ne peuvent certainement pas être considérés comme de simples et inoffensives façades. Grâce à leur écriture, un débouché thérapeutique a été donné à une colère qui aurait pu s’entêter à revenir dans l’existence de celui qui les a écrits, mais surtout, et ce qui n’est décidément pas négligeable, une vérité cachée a aussi été judicieusement exposée dans le yeux de ceux qui voudront plutôt opter pour la lecture du livre.

Bref, cela ne sert à rien de tourner autour du pot. Ce n’est pas une histoire comme tant d’autres d’ailleurs car elle ne convient sans doute qu’à des personnes prêtes à arracher le carnet de critique pour se permettre de s’identifier sans aucun préjugé. Cela fait mal de le dire, mais ce sont des chapitres qui ne feront de rabais à personne et dans lesquels on trouvera des phrases qui pourraient offenser la sensibilité de trop d’Italiens naïfs qui voulaient aveuglément invoquer une science dogmatique » : ces mots sont contenus dans le prologue de l’œuvre “Xavon.

Le garçon non vacciné. Existence déformée » par Alan Paccagnella. L’auteur précise immédiatement que ce que vous lisez, si vous l’osez, ne sera pas inoffensif et ne se déroulera pas comme s’il s’agissait d’une simple histoire de divertissement : dans ce texte, le doigt est pointé vers les hypothétiques coupables d’un complot à l’échelle nationale. , et des déclarations fortes, parfois controversées, sont faites, auxquelles on ne peut s’empêcher de réagir avec indignation ou, probablement dans une moindre mesure, avec une totale approbation.

Alan Paccagnella a décidé de coucher sur papier ses critiques sévères à l’égard du gouvernement, des virologues et des sociétés pharmaceutiques à propos de la pandémie de coronavirus, et dans ce chaudron il inclut également ceux qui ont servi servilement suivi les directives du gouvernement sans se demander si c’était bon pour leur santé. , physiques et mentaux, et pour leurs droits sacro-saints en tant que citoyens italiens.

Xavon, le protagoniste de l’œuvre et, bien sûr, l’alter ego de l’auteur, fait partie de ces personnes qui ont refusé de se faire vacciner : son choix le conduit à être licencié, à subir la colère de sa famille et de ses amis et à être pratiquement occulté sur les réseaux sociaux. Les raisons de sa décision se trouvent dans la conviction que les vaccins sont des instruments de pouvoir et non de salut : à travers eux, pour Xavon, se livre une guerre invisible dans laquelle les victimes accidentelles ont déjà été calculées, dont le sacrifice est à son prix. le moins nécessaire. L’auteur présente un roman dystopique de dénonciation dans lequel il y a beaucoup de colère, et dans lequel le protagoniste risque presque de perdre la tête pour faire valoir ses raisons.

Maison d’édition: Éditeur Rossini

Collier: Récit de Rossini

Taper: Fiction/dystopique

Pages : 324

Prix: 15,99 €

Lire aussi : Libre de rêver : de Stefania Marchisone

PREV L’EXPOSITION « LIVRES AU MUSÉE » RETOURNE À ROME
NEXT 5 livres d’architecture et de design à lire en mai 2024