Six livres sur le déluge, en photos et textes l’urgence de raconter et de partager

Six livres sur le déluge, en photos et textes l’urgence de raconter et de partager
Six livres sur le déluge, en photos et textes l’urgence de raconter et de partager

Six livres en moins d’un an. Beaucoup photo mais surtout histoires, bien. Il y a un “graine” être sauvé dans ce qui s’est passé. L’inondation cela nous a appris quelque chose et il y a ceux qui ont ressenti l’urgence de le dire. Avec publicationslivres, podcasts Et histoires a fini dans la bibliothèque. C’est ce que Guareschi fait dire au Crucifix de Don Camillo après le déluge : « Il faut sauver la graine. Si le fermier l’a conservé, la graine portera du fruit, et les épis turgescents et dorés donneront aux hommes du pain, la vie et espoir». Ça commence à partir d’ici « Événements survenus en Romagne » De Leonardo Poli et Eugenio Dal Pane (éditions Ithaque, 177 pages, 15 euros) et de ce qui est arrivé à Lugoautour de la Collégial et à son curé, Don Poliaprès le 16 mai 2023 : « Ce livre est né d’unurgence et la stupéfaction face à ce qui s’est passé – explique Dal Pane –. Il y avait un malmais il y avait aussi beaucoup bien expérimenté pour raconter. En ces jours de mai, la Collégiale devint un bon endroit où être, car chacun et les chrétiens ont eu l’occasion de se salir, de s’immerger dans la vie du monde et d’apporter le espoir qu’ils ont dans leur cœur. Un peu de ce qui s’est passé le 27 mars 2020 à San Pietro, lorsque Pape François il a dit ce qui était bon pour tout le monde : ça la communauté sauve. Nous l’avons vécu.” Et le livre le transmet à travers différentes histoires et mots. Au-delà 200 le témoignages arrivé en moins d’un mois : parmi eux celui de Cardinal Matteo Zuppidu directeur national de la Fraternité de Communion et Libération, Davide Prosperil’évêque d’Imola, Giovanni Mosciatti, curés, maires, bénévoles, secouristes et secouristes. Et aussi le livre photo “Dans la boue. L’inondation de 2023. Je charge int è paciug” (Le vieux pont153 pages, 13 euros) est né en un peu plus d’une semaine, explique-t-il Gianmaria Zanottiauteur des photos : « entre moi et Marzio Casalini, éditeur du Ponte Vecchio à Cesena, il existe une relation d’amitié et de collaboration. Marzio a tout perdu dans l’inondation, ordinateurs, livres et entrepôts, avec 90 pour cent de dégâts. Mais tel qu’il est, au lieu de s’apitoyer sur son sort, il a voulu faire un livre avec les photos que j’ai prises les 17 et 18 mai.” Une manière de recommencer pour l’éditeur, poursuit Zanotti : « Le public a bien réagi à la publication qui a eu lieu épuisé. Le volume était destiné à être un documentaire imprimé, une chrono-histoire de ces jours terribles. À l’intérieur, vous pouvez trouver beaucoup des miens photo et une section avec des photos de personnes. Dans les dernières photos il y a aussi des dieux J’ai sourisun véritable message d’espoir.”
Il a une approche historique « L’eau sur les ponts. Catastrophes et autres histoires de la rivière Lamone”vient de sortir pour Livres Yanez. C’est un livre écrit par de nombreuses personnes, qui porte également la signature du rédacteur en chef adjoint de notre journal, Samuele Marchi, qui a raconté les jours deinondation à Faenzaaccompagné de photographies de Raffaele Tassinari.
L’essai de Miro Gamberini et Stefano Saviotti qui reconstituent l’évolution historique de la rivière Lamone dans sa relation souvent non pacifique avec la ville, retraçant l’histoire de ses ponts, détruits et reconstruits à plusieurs reprises.
Les grands noms vont plutôt composer « Refait surface : récits d’inondation » (Editeur Solférino), édité par Matteo Cavezzali. «Nous voulions impliquer dix écrivains représentatif de notre territoire – explique le conservateur -. Chacun d’eux a voulu raconter à sa manière l’histoire du déluge : à partir des témoignages directs de Cristiano Cavinaà ceux qui ont réussi à décrire le déluge avec une histoire noire comme Carlo Lucarellijusqu’à Mariangela Gualtieri qui t’a dédié un poème.” Les bénéfices de cette publication ont disparu en soutien aux bibliothèques touchés par l’inondation. «Ce sont des textes écrits immédiatement après l’événement – ​​précise Cavezzali – et pour cette raison ils maintiennent une forte authenticité. Ils serviront à cristalliser dans la mémoire collective de la Romagne ce que nous avons vécu à cette époque”. Parmi les publications sur le déluge, on trouve également « Des âmes dans la boue. L’inondation en Romagne. Histoires vraies de l’Apocalypse” De Luca Giacomonipublié par Soleil294 pages (20 euros), « Le trésor englouti. Des histoires entre boue et espoir lors des inondations des 16 et 17 mai 2023 en Émilie-Romagne” De Andrea Ragini Et Luca Lombroso (Impression d’art) et un livre de poèmes « Notre Romagne » De Lia Bronzi (Éditions Setteponti)

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